jeudi 4 novembre 2010

Here is something for you and me...


Bonjour! Bonsoir! Ma demande de passeport est faite. Avec ce voyage j'ai peur de collaboré avec l'ennemi, qui, tout le monde sait travaille dans les hôpitaux a rendre fou les gens épris d'une grande liberté... La France, liberté, égalité, fraternité... Moé je me considère comme un prisonnier politique enfermé dans les murs virtuel de l'aliénation paradoxalement on va m'envoyer mon passeport par la poste. Ce qu'il faut que vous compreniez c'est que je traîne mon asile avec moi. Un asile dont on s'affranchis jamais. Je vais voir mes pairs en France, mon délire intéresse personne. Je pense a demander l'asile politique en voilà un asile le seul qui reste le politique pour les fous citoyens à l'extrême. Semble que Pinel a pas détaché le fou c'est l'infirmier qui les a attaché a des taches domestiques voilà pour la liberté, le travail est supposé être la prémisse de liberté citoyenne, quoi faire quand de tout bord avec ou sans travail vous êtes aliénés quelle porte, quand y'en a une c'est la définitive, prendre. Ou vais-je ? La question n'est pas là c'est justement ce que personne veux faire prendre la porte, une pensée pour les journalistes du journal de Montréal, on veux rester là a filer pas la laine mais la métaphore. Je reviens avec notre belle droite politique de province c'est des mangeux de... Comme d'habitude ceux qui parlent se sont jamais salis les mains aux salaires minimum et encore si ils l'ont fait ils savaient qu'ils n'y resteraient pas, la droite ça pense pas a ceux qui ont plus d'horizon qui trainent la misère quarante heures semaines et qui arrivent au bout de la semaine trop fatigué pour faire quoi ce soit, là je pense à la chanson de Clémence La vie de factrie, j'ai hate qu'il y en ais une qui nous écrive la vie chez Tim Horton's. Me v'là encore pogné dans l'espoir des lendemains qui chantent, "que faisiez vous au temps chaud lui dit elle, je chantais! Vous chantiez! Et bien dansez maintenant!" Comme je suis pas Nijïnsky et que j'ai plutôt l'air d'une vieille moppe quand je danse. Je ne sais que faire, la danse, les arts en général c'est pas des moyens honnêtes de gagner sa vie, y'a juste quelques happy few de l'union des artistes qui réussissent a vivre de leurs art mais faut voir quoi, ils font de l'art dans des téléséries niaises et là je parlerais pas d'écrivains mais de scripteurs... C'est de la jalousie vous dites, peut être, mais je reviens a cette liberté qui m'est si chère, la liberté en démocratie est de crier mais que personne entend, ouais! C'est vrai que je suis pas en taule mais c'est une stratégie du pouvoir... Je me sent tellement diminué que j'invente des complots envers ma si "importante" personne, vous voyez bien que vous avez affaire à un fou. Je dois m'en remettre au ici, maintenant, ici maintenant il n'y a personne, ici maintenant je suis seul, ici maintenant je peux sortir, ici maintenant la radio joue, ici maintenant j'écris, ici maintenant je suis en sécurité....Ici maintenant je me construit autrement loin du délire et de l'enfermement, loin de la peur je resterai écouteur entendant, lecteur et prétendant à la lueur du beau temps. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!


Crazy Bernie

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