samedi 19 février 2011

Here is something for you and me...


Bonjour! Bonsoir! Corrigez moi! Corrigez moi! Cette semaine comme toujours j'écris dans le vide mais quand même je pense à une de mes lectrices de St-Lin ou LaPlaine je me souviens plus. En tout cas cette lectrice attend un bébé, ça prend du courage. J'espère que tout va bien se passer. Moi je me rappelle pas de ma naissance ça vous surprend!!! J'étais trop petit... Le Théo à Édith est très attendu comme nouveauté c'est autre chose qu'un blog à chaque semaine. Moi les enfants j'y connais pas grand chose , je suis de l'école qui dis qu'il faut pas les perturber, tiens tout à coup je pense à Alexia à Éloi et à Antoine des enfants de différentes branches de la famille. Je leurs serre une petite main, à cet âge là on s'amuse on pense pas au vieux grand-oncle qui s'ennuie et qui écris. Je me passe en mémoire les vieilles photos de mon enfance, la fois ou je me suis collé la langue sur un poteau de fer, le phénomène de condensation l'hiver à cinq six ans on connais pas ça heureusement j'apprend vite. J'ai jamais répété l'expérience bien qu'a trop parler j'aurais mérité de me la coller encore bien des fois. Je pense à Dolbeau encore même cinquante ans après en être partis. C'est une sorte d'exil dans les si... Le seul exil que j'ai vécu est un exil intérieur, un détachement de la réalité qui lorqu'on en reviens frappe comme un coup de poing américain. Chérissez les vos enfants pour les tenirs loin des expériences malheureuses. Je me vois enfant malheureux à l'hôpital avec un compagnon de chambre qui se mangeait les bras pauvre petit gars. Je pontifie, je pontifie, la vie sauras bien en prendre soin de ses enfants, de ces enfants... Tiens Pépinots et Capucine le samedi matin à la télé, j'ai déjà écris là dessus, je me répète est-ce que je deviens sénile? Je crois pas, dans la vie les thèmes sont variés mais y'en a que quelques'un qui nous ont marqués. Vous me surprendrez encore a me curer le nez. Je pense encore aux enfants, à comment je n'arrive pas a écrire de façon infantile, à l'oreille dirait on, le plus simple c'est toujours Papa, maman sans parler de la scatologie. Maman semble que c'est le mot quand la mort nous emporte. Bon! On s'en iras pas dans le macabre... Je cherche un jeu. Viens de voir les cabanes de Greaves, peut être que mon lecteur prof connait l'anarchitecture, des cabanes pas faciles a habiter construite à la manière d'un enfant surdoué, quel plaisir de construire des cabanes dans le bois!!! Mais moi mon matériel c'est les mots, j'arrive pas à la naïveté... C'est l'hiver, ya de la neige, bientôt on auras du chocolat, voilà! Ça vaux pas les petits bonhommes à la télé, mon père disait qu'il n'y avait que ça de vrai... Bein non! C'est pas un jeu d'enfant pourtant... Je veux juste vous dire que comme un enfant parfois je vis des épisodes difficiles, j'ai envie de tout sacrer là et de finir mes jours dans les bas-fonds dans le royaume de la puérilité. Quatre heure cinquante sept, matin, je crois que je vais prendre une longue marche. Je pense au nouvelles mamans qui s'occupent des bébés qui font pas leurs nuits. Au clair de la lune, mon ami Pierrot, prête moi ta plume pour écrire un mot... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!


Baby Bernie

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