jeudi 26 mai 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je commence a manquer de souffle. Entre les crues de Saint-Jean-sur-le-Richelieu et le nouveau pont de la vingt cinq, l'eau coule toujours sous les ponts, le temps passe mais ça ressemble maintenant à l'été. Je cherche un simoniaque quelqu'un qui serait prêt a me vendre quelques indulgences pour mon écriture. Les péchés véniels ça vous rappelle quelque chose? Trop d'adverbe cette semaine. J'y arrive pas je suis vidé . Je peux peut-être vous parler d'empowerment du pouvoir que j'ai d'être au bon endroit avec les bonnes personnes, parfois le bon endroit c'est tout simplement chez moi essayant de prier et je sais bien que certains sont allergiques à la prière disont donc méditation, une tentative de faire le vide, de respirer avec calme et d'accepter d'être ce que nous sommes des êtres parfaitement imparfait. La difficulté c'est de tendre à la perfection tout en sachant qu'on ne l'atteindras jamais. Je vous écris comme un curé vous êtes ma paroisse. J'allais écrire humilité, l'humilité c'est pas nécessairement porter du vieux linges sales et marché à genoux dans les allées d'une église et là je cherche ce qu'est l'humilité. Je crois que c'est d'être conscient qu'il y a des choses, des gens plus fort que soi, une force supérieure, un esprit diront certains, un esprit qui nous aide dans les moments difficiles. Je suis pas encore prêt a me consacrer tout entier à Dieu mais je m'efforce d'être en sa compagnie le plus souvent possible. J'ai des pensées mortifère et pourtant le mot être reviens souvent, oui être pour vivre bien vivre mieux, être pour chasser l'angoisse quand je perd le contact avec ma puissance supérieure. Parfois la foi c'est tout ce qui reste après un long parcours dans l'orgueil. Le plus étrange c'est de s'être battus pour des choses qui n'en valait pas le coup. Maintenant j'essaye de porter une oreille attentive à ceux qui souffrent et plus difficile encore à ceux qui n'en sont pas conscient, comme le curé disait c'est facile d'aimer l'aimable mais aimer le pas aimable c'est tout un contrat. Je retrouve mon âme, je vous révèle là une chose intime mon âme, c'est facile écrire sur le cul mais écrire sur l'âme et là je cherche qui de Saint-Augustin ou de Saint-Antoine a écris ses confessions. C'est Saint-Augustin... Quand je réussis a sortir sans me cacher la face je suis pardonné par mes pairs. Vous me direz c'est un discours de faux-prêtre, vous avez raison je suis pas dans les ordres. Je suis plus un frêre au sens commun fraternel, le frêre de vous tous qui me lisez et qui j'espère font partis de ma grande famille. Pour terminer, si ce que j'écris vous plaît pas faites une petite prière pour moi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine je l'espère!!!


Priesty Bernie

P.S. Viens de lire une critique d'exposition qu'on signale antidote à l'insignifiance. Faut voir dans quel journal c'est publié, un journal remplis de clichés publicitaire, qui vendent un mode de vie abscons axé sur Épicure. Enfin l'insignifiance ... Celui qui vois la paille dans l'oeil de l'autre vois pas la poutre dans le sien. Dixit la défunte revue Pilote.

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