lundi 17 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de la profonde nuit en pensant au mouvement des indignés. J'a iu qu'il avait un probléme de toilette à Montréal, les restaurateurs près du site seront pas content, les protestataires sont vraiment dans la merde. Je suis d'accord avec le combat des indignés mais au Québec ça ressemble a une implication timide c'est vrai que la bourse elle est maintenant à Toronto. Hier j'étais à HLHL je regardais un livre sur le Togo et le Bénin ou on garde les malades mentaux enchainés à un arbre, dans une certaine échelle je crois que la libération de ces malades est très importantes. Vous allez me dire c'est du déjà entendus mais je répète sans me lasser que ce sont mes frères et soeurs qui sont là. On oublie souvent qu'à Montréal on est privilégié... Hier je me suis couché en pensant à ceux qui sont malades et passent toutes une vie sans le réaliser et dans le déni de la maladie ces gens prennent souvent des mots plus légers pour décrire leurs états comment dire qu'un burn out c'est toujours à leurs oreilles moins lourd qu'une dépression. C'est lourd aujourd'hui, j'ai quand même hate à la libération de tout les êtres humains qu'ils ne soient plus sous le joug des forces économiques rétrogrades, avec ce vocabulaire là on se crois chez Marx mais l'équité pour tout le monde c'est pas trop demandé, dictature, inondation, sécheresse, famine ici on est bien loin de ça pourtant leurs combats sont les notres comment disait le militant? Je ne cesserai pas tant que le moindre brin d'herbe ne seras pas libéré. Émision littéraire cette nuit à Rédio-Kénada, ils parlent d'écriture épistolaire un peu comme ce que je vous faire lire ici... J'ai envie de m'enfuir de prendre le train pour la Californie juste pour regarder le paysage de l'Amérique, ici on a pas l'équivalent du trans-sibérien express... Manger des horizons, manger des yeux les arbres et les cieux, passer la journée dans un wagon restaurant a se faire bercer par le cliquetis des rails. Partir pour un peu se fuir et vivre autre chose... Je pense à la jeune terre d'Amérique toujours en évolution, toujours à construire, une histoire qui n'est pas morte contrairement à ce que pensent certains, l'histoire se fait lentement un jour à la fois ça m'étonne que l'astrophysicien d'un âge vénérable se préoccupe des générations à venir, il étais ou avant ce beau dégât. Bulletin de nouvelles à la radio, on enchaîne on exécute comme si déjà la vie n'avait plus d'importance. C'est moins drôle mon blog c'est temps ci, j'ai perdu le fil si je l'ai jamais eu. Je pense à mon cahier à mon rôle d'Elvis des bas fonds, à ceux qui prêchent la fin du monde après en avoir profité sans retenu... Faudrait s'empêcher de vivre... J'aimerais récupérer toutes les bouteilles et les canettes au fond du fleuve. Ouais! Quand ils nous disent qu'on peux faire des milliers de bancs de parc en récupérant les contenants de plastique, on a tu vraiment besoin de tout ces bancs... Je comprend rien, je suis bouché... Bouché comme quoi? Je sais pas... Encore, le fleuve a un chenail et des bateaux qui le draguent, mesdames voulez vous devenir mon chenail? Ma voie maritime? Je me fait vieux, je dirais que mon avenir est derrièrre moi. J'en ai assez écris pour aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Oldie Berny

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