lundi 14 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je vous écris du vrai matin. Je me suis tapé une longue nuit. Les pubs de Noël sont déjà diffusées ça m'énerve. On dis que pour faire connaissance vaux mieux parler de tout et de rien comme la température mais j'y pense je vous connais déjà on va pouvoir discuter de la couleur de mes bobettes. J'ai pas beaucoup d'inspiration, parfois j'ai l'impression de vivre à Kingston quand je vois les trucks qui passent devant chez moi... J'écoute les nouvelles à la radio, les vox populo sur le pont Mercier, les gens sont laconiques. J'ai rêvé que j'écrivais un blog et qu'on me demandait l'épaisseur du texte j'ai répondu à peu près un pouce. J'écris toujours dans le logiciel de courriel. Je suis superficiel j'arrive pas a plonger en moi pour en sortir des scories de l'âme. Je veux sortir les parties mauvaises mais je fais une erreur. Qu'est-ce que ça vous dis le lundi? Le boulot après avoir passé la fin de semaine a ramassé les feuilles... J'en suis à mon deuxième café, un humoriste s'est inspiré de Céline pour le nom de son show, on a bien évité de dire, de discuter de son oeuvre.... L'oeuvre de Céline pas celle de l'humoriste!!! Y'a des ouvriers à truelle sur la passerelle, ils vont calfeutrer la fenêtre. Je suis léger mais pas comme le cardinal peut être comme Fernand, c'est de l'ordre du sacrilège ce que j'écris là. J'ai parlé avec l'ouvrier mais oui ils vont "caulker" les fenêtres. Le matin quand j'ai bien dormis j'ai l'âme plus légère, je vois la journée d'un bon oeil. C'est moins fertile pour l'introspection, quand même je suis pas obligé d'être bouleversé à tout les coups. Les voisins se promènent, ils passent d'une amitié à l'autre quand ils se querellent, c'est là façon de fuir la solitude, les petites chicanes ça tue parfois l'angoisse. Et moi! Et moi! À propos et moi? Je suis rendu à dos de chameau, mes excuses à monsieur Charlebois... Ça crache, ça crache dans la face. J'ai plein de paroles de chansons dans la tête. Je veux être rapide quand pourtant je sais qu'écrire c'est pas une question de vitesse ni de quantité la journaliste disait que j'étais logorréhique, bein oui je vomis je crache des textes ça peut êttre associé à une maladie mentale cette pulsion et pourquoi pas? Ce qui m'amène a pensés au point final, y'en a tu vraiment un? Tout se répète, tout recommence, la vie est forte, la seule fin que je vois c'est la dernière. Bon! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Thankly Berny

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