mercredi 11 juillet 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je veux vous parler de la télévision, d'une émission aux images superbes, Wallander d'après les romans d'Henning Mankell. C'est tournée en Suède un pays qui ressemble étrangement au Québec. C'est une série policière avec des intrigues solides... Tiens! Ce soir un reportage sur les couches de bébé, de la merde pas recyclable, des couches on en porte aussi quand on deviens incontinent et vieux. Je cherche quel comédien pourrais nous faire une publicité là dessus, on va prendre un journaliste Simon Durivage qui nous montrerais l'étanchéité de la couche. À RDI ils nous blastent avec des élections pour bientôt, les libéraux ont une organisation étanche pas un mot sur ces rumeurs d'élections. Je me rend compte que c'est plate de parler de la même chose que les réseaux d'information. Dans le goulag comme toujours on respire les gaz d'échappements des camions... Huit cent milles piastres pour les courses de NASCAR, ouais! On a pas l'air a avoir de problèmes écologiques avec les voitures, avec le pétrole... Le goulag c'est de l'asphalte bord en bord avec de petits parcs pour la verdure. Les gens y sont accueuillant mais on a pas d'hôtel, faut se rabattre sur le quartier gay. Le goulag a pas de grandes vies économiques, des dépanneurs et plus au nord sur Ontario un restaurant mexicain et le café Touski une coopérative de travail, active aussi sur le plan culturel avec le Péristyle Nomade et son oeuvre urbaine Poésie Durable http://raiq.ca/fr/node/9419. Ce soir je me tiens au frais et j'ai envie de vous parler de coccinelle plus que de punaises et de coquerelles. Je vous écris ça pendant que la télé nourrie la peur de l'étranger. Je pense à cette pauvre dame qui sur les casseurs pendant les manifestations étudiantes disait c'est des étrangers toute penaudes. Une dame probablement incapable de concevoir que ses enfants, ses neveux, ses nièces peuvent être insatisfait. Je sais, je sais le prolétaire que je suis est condamné au chômage dans le goulag. Tu prend ton chèque pis tu ferme ta gueule en buvant ta grosse bouteille de bière. Le soleil est radieux et chauffe la peau et les os, dehors on sue et ça soigne l'arthrite et les rhumatismes. Je vous laisse là dessus il fait trop beau, je crois que je vais allé jouer dehors. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Sunny Berny

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