mardi 9 octobre 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Je pense aux amis qui sont partis pour la Floride je leurs souhaite bon voyage et ces autres amis lecteurs aventuriers qui reviennent de la Turquie. Je leurs souhaite bon retour. Bon je reste dans les affaires simples, j'ai appris aujourd'hui qu'en secouant le rasoir sur le bord de l'évier ça le nettoyais. Merci l'ami! Je me suis quand même charcuté le visage. J'ai la face pleine de bout de kleenex. Demain le dix c'est la journée de la santé mentale ça reste tellement secret ces maladies pensez-y vous avez peut être dans votre entourage quelqu'un qui souffre soyez indulgent... Dehors les voisins profitent du beau temps pour discuter... Parfois y'a des gens qui me disent que je suis courageux. Faut pas que je m'enfle la tête c'est juste que j'espère le bien et le bon. Ce soir ça ressemble à une page de mon journal intime. Je rêvais d'écrire je le fait pour le reste, l'édition papier, j'espère, plusieurs disent que ça va disparaitre. Le livre c'est tellement sensuel, organique c'est loin du I-pad. Demain je vais en être un livre, un livre humain les gens vont me lire en me posant des questions sur la maladie... J'ai fait la dernière touche à mon rasage. Aujourd'hui y'a un anglophone qui m'a demandé pourquoi la langue française c'est si compliqué pour la poésie il m'a parlé de Miller, d'Hemingway moi je lui ai parlé de Flaubert de Stendhal qui sont pas piqués des vers tout ça pour tout les deux admettre que l'allemand est une langue vraiment compliqué dans un mot allemand y'a un univers, Goethe, Kant, Freud, Jung, les grands philosophes... Je me rend compte que j'écris des niaiseries incapable d'écrire au sens large sur la littérature et la philosophie... Je crois que je vais relire l'Odyssée, c'est pas mauvais de revenir au classique même si je ne saurai quoi en dire... J'écoute comme toujours Rédio-Kénada eux et leurs accents c'est pas la radio du populo. Y'a longtemps que vous avez pensés à Julien Sorel ou aux Illusions Perdues de Balzac ces intrigues, ces histoires du monde du journalismes de l'édition. Moi quand j'ai lu ce Balzac ça m'a découragé d'écrire et là je pense à ce camelot des petits journaux qui mimait une fellation, un autre idiot, donnez vos journaux dans le respect s'il vous plait. Je pense qu'il faut être fait fort pour écrire et toujours "travailler", si on a pas de travail on s'en crée. Y'a toujours un texte qui traine dans le subconscient mais attention faut pas chercher le titre du roman avant d'en avoir écris une ligne. En ce moment je lis le nazisme et la culture de Lionel Richard qui explique sans faire simple ces autodafés cette dévalorisation des Oeuvres de Kandisky, de Kurt Weil, du Bauhaus et là je pense à l'architecte du pavillon du Québec d'expo 67 et du village olympique de 1976 qui disait pour ne pas dire répétais que les québéquois ont pas de mémoire en pensant avec amertume à ce qu'ils ont fait du pavillon québéquois. Je me souviens qu'avant le casino y'avait de magnifiques expositions de caricatures, de dessins d'humour dont l'oeuvre du grand Robert Lapalme. Pour ceux qui croient pas avoir un reste de nazisme pensés à François-Albert Angers ou au petit milicien que vous croisez chaque matin avec son ardente ferveur pour les armes à feux. Je vous l'avoue je prend des raccourcis y'a rien de simple, rien de simple dans les âmes. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Slowly Berny

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