mardi 26 février 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Ce matin le tzar se pose des questions sur l'utilité des médicaments. Il crois qu'on fabrique les fous et qu'on les exiles vers la psychose et le silence. Les sbires du tzar croient qu'on donne trop de médicaments, ils croient aussi pouvoir soigner la douleur psychique en écoutant le souffrant... Moi j'ai jamais vu de psychotique guérir par la parole au contraire il est au prise avec un flot verbal délirant. On ne guéris jamais je ne sais pourquoi on se calme... Les cazaques croient que les schizophrénies sont toutes dues aux abus et aux traumatismes, moi je veux biens essayer la méthode de monsieur Freud si on me garantis que cette souffrance intolérable va cesser. Je demande pas le bonheur juste que la souffrance cesse... La difficultée elle est là comment dire l'exil, le grand vide intérieur qui nous enlève la capaciter d'aimer. Elle est faites de ça mon âme une incapacité, une invalidité pour l'amour, un affect désafecté quoi que cela veuille dire. Un journaliste de notre prvada nationale parle d'épidémie de maladie mentale, moi je vois des gens qui ont "réussis" mais qui vivent un exil émotif ne savent plus quoi faire de leurs vies de succès linéaire... Je m'étais promis de me tenir loin de l'actualité mais la maladie mentale est ma co-locataire depuis longtemps. C'est pas qu'un spleen, c'est l'exil des valeurs courantes, un grand vide qui questionne sur la capacité a faire face à la vie... C'est quand même pas les ballets du bolshoi dans l'exil on ne danse pas on fait les cents pas avec la fébrilité dans les os... Mon âme est une place rouge que j'essais de visiter avant l'exil dans le goulag, on iras aux messes orthodoxe pour se faire entendre du Dieu du nord... Parfois mon exil est américain comme dans "Life in a northern town" les villes du nord soviétique sont semblables aux américaines... Des chômeurs exilés qui cherchent du travail... Ailleurs! Pourquoi cette âme s'en va ailleurs je suis pas Docteur Zhivago, quel beau cliché, dans la tempête... Je n'ai de rouge que mon sang le drapeau du goulag américain est un fleur de lysée bleue, ça me fait pensés à la commune française. Maintenant j'écoute, j'écoute la vie, j'écoute la voix, qui endormis guideras mes pas, pas de dépit et pas d'émoi pourquoi? Ce serait la vie ce serait la loi loin des soucis loin du suroît, ce vent d'ici, ce vent d'Éloi, plaisir pourris plaisir pour toi celui qui rie celui qui bois, un élixir une vodka, voilà j'ai dis voilà je crois en mes amis pour une fois... Bon je vais faire chanter ça par le coeur de l'armée Rouge... Je vous dis dans le goulag on pratique la psychiatrie citoyenne, on essais d'exercer tout nos devoirs et tout nos droits...  Je pense à ceux qui se sentent lésé par la psychiatrie, je crois qu'ils ont oublié de vivre, ils attendaient beaucoup de l'institution ils n'ont eu que l'exil loin des lieux de soin et le replis sur leurs goulag intérieur. Bon! Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Snowy Berny

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