lundi 15 avril 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Toujours dans ce que j'appele le goulag, c'est enfin le printemps on s'accroche... Je pense à Glen Gould au contrepoint. On en a rien a foutre je vais pas écrire sur vous savez quoi ça nous chagrine tous. "J'ai le coeur à l'envers comme un motton de poison" André Paiement du groupe Cano cette nuit, dehors on s'en dionne à coeur joie. Le doux temps est revenu, on peux discuter le bout de gras en paix... Cette semaine avec la matriarche on se demandait ce qu'ils faisaient avec le fromage invendu, avec tout ces étalages remplis a craquer? Je suis étourdis insomniaque aussi je me réveille debout,l'âme en peine... Comme souvent j'essais de vous parler de ce qui me bouscule intérieurement, de mon exil dans l'inconscience, la psychose... Cette chose malade que seul l'autre peux observer dont je suis inconscient. J'ai plus de lait pour le café. Je ne peux me permettre le ressentiment je risque la rechute, ce serait pas beau... Tout à coup je pense à mon lecteur ancien livreur d'aliments exotiques qui maintenant est représentant politique. J'aimerais qu'il dise à sa patronne qu'ils ne devaient pas enlever le mot socialisme du préambule, on en a pas assez de la gauche... Bon! Je suis tombé dans l'actualité moins dramatique, quand même... J'ai l'âme au partage pour le bien des autres mais un peu moins pour le mien...Une âme grise, une âme triste perdue dans les heures de la nuit espérant faire poésie de ces quelques mots volés à la nuit en écoutant l'amérique passés en voitures comme un défi à la folie intégriste... Non! Non! Je vaincrai pas dans mon goulag à coup de phrases alambiquées, de mots fermentés...Les mots c'est pas de la boboche de détenus, des pelures avec du sucre qui saoulent après un certain temps... Il est là le point dans l'exil ne pas se saouler, garder l'âme attentive à tout ce qui peux se passer dans le goulag... Je suis mal partis en nommant mon exil goulag, le goulag c'est l'administration mais aussi des camps de travail forcés, disont que je suis forcés par l'exil par la vie... Je me rappele cette jeune toxicomane devant chez moi qui en frappait une autre à coups de bras. À tout ceux qui ont soifs de cirage à chaussure chauffés, ça va vous tuer... J'ai cessé de m'intoxiquer je sais ou vous en êtes quand vous me traiter de lècheux de cul. Je suis déjà passé par là. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
 
Aproximatively Berny

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