mardi 7 mai 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! De retour du colloque des journées de la santé mentale. Je me sent comme un gros niaiseux, un gros tas de marde pendant que je discutais aménagement des urgences y'a des psychotiques qui souffraient. Je ne sais que faire pour les aider... J'ai installé le climatiseur en pensant à mes journées passées dans la souffrance y'a longtemps déjà, je n'habitais pas le goulag. J'avais peur des tours de la sureté du Québec mieux connues sous le nom de Parthenais. Cet après-midi j'ai l'âme lourde, d'après une étude la pauvreté et les troubles concomitant vont de pair et ils vont me reprocher de prendre garde à l'argent.. Quoi que je fasse c'est toujours comme si on voulait m'étouffer m'empêcher de vivre. On veux ma mort morale qu'il ne reste que de la chair bonne a creuser des fosses sans trop se poser de questions en attendant mon tour. Je travaille, je ne travaille pas à ce qu'ils veulent mais je travaille et ma souffrance est autant judéo-chrétienne que la leurs. Les gros travailleurs à la retraite ont toujours le don de me faire sentir coupable même si je ne prend que mon du. Je juge tellement c'est normal que ça me rebondisse dans la face j'essais de me dire vivre et laisser vivre mais parfois j'ai envie de tout abandonner. Ça a aucun crisse de bon sens... J'aimal à mon juron d'exil, à ma patente qui me tiens lieu de tête. Je m'en fout que vous disiez que c'est mal écris, j'écris ce que je vie et ça fait mal. Lisez! Lisez mes jérémiades je n'ai que vous lecteurs de continent habité autrement que mon goulag. Heureusement aujour'hui le soleil est gratis j'en connais qui voudrais me le faire payer... Je gosse avec le climatiseur c'est frais, Ouais! Je suis un vieux radoteux, je dois pas être le seul exilé qui délire sur la douleur de vivre... Bein non! Je suis pas à l'est d'Éden, je suis au centre du goulag occidental là où on meurt empoisonné par les émanations des voitures... C'est ma thématique respirer des gaz d'échappement, ça sent rien et ça tue...À soère on a mangé des hot-doy mais on a pas écouté Pink Floy... Mes excuses à Lucien Francoeur.  J'ai fermé la télé ce soir j'écoute pas les actualités. Nommez ça comme vous voulez, apitoiement, ressentiment semble que ce sont mes défauts. Je vous ai pas raconté mon égocentrisme, je navigue entre le pire des pires et le mieux des mieux mais c'est des saloperies tout ça je suis qu'un exilé au goulag ordinaire. Parfois j'essais de faire mon intéressant mais j'y arrive pas. Trêve de niaiseries j'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Silly Berny

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire