dimanche 23 juin 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Encore une fois la fête du pays qui n'existe pas, ce pays qu'on brade pour une chanson. Moi je suis triste, le goulag est partis et il est toujours questions de mon exil... Je pleure, je pleure toujours dans les moments de fête. Ils l'ont gardé le pays et moi exilé de l'intérieur je suis triste. J'aurais aimé ça essayé de vivre dans un pays français et indépendant. Je sais d'habitude je parle pas de l'actualité mais là c'est plus fort que moi, le pays se réduit souvent à ses chansons pendant que c'est la grève chez les travailleurs de la construction... J'ai vieillis m'en suis remis à Dieu pourtant, à Rédio-Kénada c'est Serge Fiori et Harmonium,on oublie Saint-Jean-Baptiste société de demi-clerc!!! Je sais pas ou sont mes allégeances je suis tanné de me faire chanter les mêmes chansons. Je veux mené moi aussi me mener comme un homme seul qui espère sortir du goulag. O.K.!!! O.K.!!! Je suis un pauvre innocent je l'admet... Pourtant y'a pas de quoi faire un pays avec la gang de corrompus de la commission. Pendant que je rêvais en mangeant du Kraft Dinner il se remplissaient les poches de cash sans trop suer. Après on va dire que je suis malhonnète parce que je reçois la sécurité du revenus... J'écoute plus la station de radio CHOM c'est fait pour les chômeurs. Je cherche ou j'ai manqué mon coup, C'est peut être que j'avais une certaine foi dans leurs chansons, une foi mal placée... Le pays c'est une chose les hommes une autre, toujours a négocier... Venez me chercher!!! Venez me chercher!!! Les artificiers du goulag vont me faire sauter... Mes excuses c'est calme très calme. J'ai parlé à la matriarche qui connait les lacs, les rivières, les ruisseaux et les montagnes, la matriarche qui à pêchée tout ce qu'on appelle truites mouchetées. La matriarche de notre mère terre. La matriarche de Péribonka qui a quasiment connue ce fleuron de la littérature Louis Hémon... Quoi dire? Un temps pour les émotions j'ai pas connus la terre, que l'asphalte du goulag sa brume sèche. J'étais mêlé j'y croyais pas au retour à la terre. J'étais du rock'n'roll urbain à la walk on the wild side de Lou Reed. Je vous raconterai pas ma sortie du sous-sol, de l'underground avant le mot. Je termine en vous souhaitant quand même une bonne Saint-Jean, merci d'avoir lu jusqu'ici à la prochaine j'espère!!!
 
 
Wooly Berny

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire