mercredi 11 septembre 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Ce matin je félicite mes lecteus de RDP pour la jolie fête samedi ça faisait longtemps que j'avais vu le fêté.Je me sent mal comme si j'en faisait pas assez.J'ai de la peine pourtant je fait de mon mieux.Je devrais pas me plaindre y'a pire comme ces deux ladies of the evening qui travaillaient dans le goulag. Je me fait un café... Il est trois heure trente le goulag dors, j'attend que la bouilloire siffle. Ça me plait de vous écrire de mon exil, j'ai mon café.Je me souviens de ce voisin de chambre dans Saint-Henri, il me prenais pour l'Alexis des Belles histoires des pays d'en haut c'était idiot je m'enfonçais dans la maladie.Il pleut encore sur le goulag, une voiture klaxonne,,, J'ai démarré le climatiseur, je me gratte le dos avec la lame d'un couteau... Moi aussi j'aimerais que mes lecteurs retraités de l'Outaouais me ramène une médaille de Rome, faut pas croire j'ai pas le cul béni. J'essais d'entrer en moi de faire de l'introspection. Je cherche comment vous raconter cette douleur de l'exil intérieur j'ai aucun endroit ou m'évader c'est moi avec moi dans le goulag une sorte de dédoublement schizophrénique. Les fous se rangent dans le goulag. Je sais pas comment écrire... Their mind is tiffany twisted je sais pas ce que ça vaux mais on comprend que c'est tordus.J'ai refait le lit, il est pas dis que j'y retournerai pas. Je pense à toutes ces villes ou je suis allé ces dernières années on me l'aurait dis je l'aurais jamais cru. C'est très laid comme phrase ça aussi. Tiens! Dans ma tête j'entend "Gros estie d'épais" je pense au Gratton de Falardeau je suis comme lui mais pas aussi big. Au goulag occidental le dépanneur asiatique a l'air bête pas besoin de chercher très loin pourquoi il a un rideau métallique devant sa boutique, quand on est pas plus avenant...Ouais! Dans le goulag on participe pas à des concours d'écritures par peur de perdre sa source d'inspiration, la vie dans l'exil fou et la misère.Je me pose quand même en vrai écrivain le succès viendras bien peut être posthume et d'estime mais ce seras déjà ça.Tout à coup je pense au poète Lucien Francoeur que j'aime beaucoup, selon moi le plus urbain nord-américain de nos poètes. Je m'ennuis de Langevin qui trainais sa poésie et sa folie dans les bars du Quartiel-Latin, une pensée aussi pour Anne-Marie Gélinas je sais pas ce qu'elle deviens, une grande poétesse. Et moi et moi avec ma mauvaise prose qui essais de vous décrire mon agitation du bocal à moi.Je prend une grande respiration je retiens mon souffle et je termine. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!






Slowly Berny

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