mercredi 19 février 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de relire deux parties d'un texte éditées sur les humeurs culturelles de l'IUSMM. Je crois que ce que j'écris sert juste a me faire haïr. Demain je vais m'acheter un cahier pour continuer même si je me questionne beaucoup. Je pense aux joueurs de hockey aux nombres de fois ou il on du lancer pour en réussir un. Je  parle de Weber combien de fois il a répété son tir? Je sais pas si écrire beaucoup ça amène a écrire mieux... J'écris, j'écris vous me trouvez tannant, oui mais j'ai décidé de consacrer ce qu'il me reste de vie à ça. C'est tout de même mieux que le pègreux à Bernard Gauthier qui menaçait les contracteurs pour des jobs qui n'existaient pas juste remplir ses timbres de chomages comme on dis en langage populaire. J'essaye d'être honnête c'est pas facile mais faut l'être y'a pas de demi mesure. Il est dix sept heure cinquante quatre, y'en a quelques un qui vont allés prendre l'apéro dans un cinq à sept. Moi j'ai mangé du foi de boeuf avec des carottes et des pommes de terre arrosé d'un jus de légumes. Parfois je suis tellement angoissé j'ai envie de mourrir mais je sais bien que c'est pas la solution, ça passe tout passe c'est ce qu'il y a de plus terrible, l'impermanence... Voilà ici maintenant je suis a regarder un courriel de belles guenilles pour hommes mais ma penderie est pleine, non, non, non! Je parle pas de me pendre je parle du garde-robe mais comme j'ai pas de robe je suspend mes vêtements dans la penderie. C'est tu bon de l'eau frette quand on a soif!!! Des niaiseries encore. Je bois tellement ça va me faire des larmes sur mon sort mais je préférerais rire aux larmes. Y'a longtemps que ça m'est pas arrivé je pense à Ti-Mé... Ceux qui veulent lire un bon roman lisez Homme entre eux de Jean Paul Dubois un portrait de la masculinité du nord ontarien, ça se passe à North-Bay ou je suis déjà allé pour moi c'est pas encore le grand nord mais je le répète c'est un excellent roman. Tout a coup les doigts me démangent je crois que ça aussi c'est l'angoisse, elle a le dos large l'angoisse, respiront par le nez... Je viens de regarder les actualités à TV5, la France et ailleurs, les morts en Ukraine à Kiev... Étrangement je pense à mon ami Michel dans mon enfance à Montréal-Nord ma première prise de conscience de la différence de l'autre, plus tard en éclaireur j'accompagnerai les nouveaux à l'école de Terrebonne on a pas eu de trouble. Y'avait aussi les vélos Duomatic deux vitesses rétropédalage modifié poignées et sièges mustang comme on disait à l'époque, j'ai brisé la roue d'un copain avec l'écrou de la roue avant c'est loin tout ça la nostalgie ça donne rien. Je pense au lecteur qui travaille aux communications de l'IUSMM. J'aimerais beaucoup avoir son avis sur ce blog. Ce soir j'ai pas envie d'arrêter d'écrire dehors c'est doux, dans la rue y'a des voitures et des autobus dans le parc les gens promènent leurs chiens. Vous voyez y'a rien qui change, je grisonne et prend du ventre, la nuit m'ennuis pas et je descend si bas en gardant le pas mot à mot sur le tas avec les chiens qui jappent au gras en mordant le bras. Je vous dirai ce que ce seras une fois là une fois ça, une fois ça et là a essayer d'écrire sans trépas juste la vie ici bas.Voilà! Voilà! Voilà! En vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Votre écrivaillon!!!
 

Bernard 

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