vendredi 21 mars 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis triste, je pense au météore et à l'avion disparu je crois qu'il y a un rapport. Je sais c'est ésotérique mais y'a rien qui arrive pour rien. J'espère qu'ils vont les trouver les débris de l'avion. Pour ceux qui hésitent encore a acheter le dernier Fiori, achetez le c'est un chef-d'oeuvre!!! Je le fait jouer en écrivant. Je vie dans la tyrannie du vrai, de l'authentique comment vous dire que dans la solitude y'a rien qu'on imagine pas. C'est le printemps mais demain y'auras de la neige. Je vais essayer de vous traduire mon état émotif, c'est une sorte de vide de rien a penser. Juste mon voyage à Paris, j'y réfléchis je sais que j'y ai des amis. Je réfléchis sur les textes avec des trade mark, me demande si c'est vraiment nécessaire de savoir quelle marque de rasoir j'utilise ou quelle sorte de macaroni je mange, bolognese en passant, y'a aussi les nominés du concours littéraire de Rédio-Kénada rien a redire sauf qu'au Québec les gars ils savent pas lire, un manuel d'entretien mécanique à la limite. J'espère que mon ami qui travaille à la Société des transports de L'Outaouais se sent pas visé. En tout cas je courre pas les concours j'ai pas toutte pour... Je paraphrase... L'angoisse viens de me prendre. J'ai peur qu'on enquête sur l'argent que je gagne, la caissière cette semaine avait un espèce de fil de téléphone boudiné qui lui sortais de la manche de son chandail et le service étais pourris. Je signe un reçu pour tout ce que je gagne et vous essairai de vivre avec douze mille dollars par années. Dans le temps on les appelait les boubous-macoutes et la délation était encouragé. Je vais probablement finir itinérant. Ce qui m'amène sur la misère dont on ne sort jamais, miséreux on chante des miserere. Mais tout ça ça ressemble a une sorte de pornographie émotive. Je m'invente des peurs comme toujours je suis un pauvre cave qui se dénigre. Avant d'aller trop loin je suis bonnasse voilà ça me prendrais un peu plus d'humilité pour arriver à la sérénité. Voilà! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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