samedi 9 août 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'en suis encore à me triturer l'intérieur pour vous donnés a lire. J'ai fait un mauvais rêve que j'ai rapidement oublié.Le goulag est dans une nuit calme parfois je rêve a des visages que je n'ai pas vu depuis plus de vingt ans. Je pense à mon père qui n'avait pas tellement d'amis ses amis c'étais la famille élargie. Je veux pas qu'on m'accuse de libelle diffamatoire... J'ai pas appris a vivre, comment ont fait? Si j'avais du talent ça ce saurais, une phrase de dinosaure, me suis préparé un café en pensant à mon apparence de coucou.J'hésite a vous écrire que je me promène les testicules à l'air c'est de l'ordre de l'intime. J'ai mal à la tête, c'est pas tellement la douleur comme le vide littéraire Hé oui! J'ai la prétention de faire de la littérature, mon café est prêt j'en suis pas aux petites madeleine de Proust. Pas de gâteau... Je me souviens de ces nuits ou pour pas coucher dehors je partais saoul du centre ville pour coucher dans l'appartement remplis de vermines, rats et coquerelles d'une connaissance à Cartierville. Des souvenirs pas très utiles... Je pense à ce voisin qui puait tellement des pieds c'était horrible. J'avais réussis à ma dégotter un appartement sur le plateau, le hic c'est que c'était un appartement pour handicapé encore dans l'itinérance j'étais pas sans logis mais je couchait pas longtemps à la même place. C'est un bout de ma vie que j'ai trouvé long plongé dans la mort et l'auto-destruction. Ce soir j'ai le coeur plein de larmes, je m'en irais si j'avais une arme -Robert Charlebois.Dehors y'a un gars qui me traite de têteux, l'estime de soi j'en ai pas un char. Ha oui! Je pense à tout ceux qui m'ont souhaité bonne fête je les remercis. Je peux pas dire que je suis seul entouré de ce beau monde que j'apprécis. Je devrais prendre mon temps et vous écrire un poême électrisant sur la vie intérieure d'un battant. Ça s'agite, ça s'agite et pourtant c'est un vide niais, un vide qui se promêne dans la niaiserie me semble que je l'ai assez dis les vrais poètes savent comment émouvoir, je sais même pas si ça s'écris. Je veux transposer ma douleur de solitaire, mon ennuis monastique. Vous vous reconnaisez pas dans ce que j'écris c'est mon univers insomniaque ma nuit d'ennuis. Je vous propose ma prose comme on offre une rose à ceux qui souffrent. Oui je vous offre une rose à ceux dont les proches partent j'en dis pas plus ils se reconnaitront. Mes pensées sont avec eux. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

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