Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les nouvelles, les
actualités. On y parle beaucoup de différent artistes dont des muralistes.
J'aime beaucoup cette forme d'art mais je suis incapable de nommer le créateur à
partir de son oeuvre. Pour moi les oeuvres de la rue se confondent. Comme
toujours je sais pas ce que je vais vous écrire. Je pense à la photo qui
accompagneras le texte et je ne sais pourquoi aux Nazi. J'ai pris mon café, ai
hate de partir pour Londres. C'est la nuit les lumières du parc éclairent
toujours.J'ai la tête vide, vous y croyez? Je suis pas journalistes c'est pas
pour rien. Je crois que le copain a raison j'écris très mal, j'ai pas la plume
gay. La poésie des victimes des abusés. Je voudrais avoir finis avant de
commencer. J'essais comme toujours de faire de mon mieux. Je pense à la lectrice
enceinte de l'Outaouais, le bébé est pour bientôt on m'a dis qu'elle est grosse
mais c'est beau une femme enceinte. Je compte les lignes que je vous écris,
pense au cours d'économie du secondaire. Le climatiseur est arrêté cette nuit on
est bien c'est frais. J'entend la sonnerie du Ipad, parfois je crois que je suis
sourd. Hier à la bibliothèque on m'a signalé que je parlais trop fort. Je
comprend que les gens préfèrent le calme et le silence. Bon puisqu'il faut, il
faut, vous parler de la commission Charbonneau ou on entend Tony Accurso,
nouveau retraité, à date il a rien dis de vraiment éclairant et c'est étonnant
d'entendre cet homme en fin de carrière. Les choses ne lui appartiennent déjà
plus je crois.Il voulait toujours avoir de l'ouvrage d'avance pour ses employés.
C'est bien mais y'en a certainement qui ont pas résisté à la pression. Ils ont
pas encore parlé du fameux bateau et de qui se trouvais là, ça devait être bien
arrosé.Je sais pas pourquoi je vous écris là dessus ça me regarde pas, c'est pas
de mes affaires, les égouts et l'asphalte, la machinerie, les tracteurs, les
pelles mécanique j'y connais rien. Je suis très loin de mon monde intérieur,
chez moi y'a un parfum d'étable, je me lève tôt comme si je devais faire le
train, aller traire les vaches, leurs donner du foin. Parfois quand je sort je
me sent persécuté, y'a des phrases méchantes que j'arrive pas a saisir mais qui
me sont destinées. Tout ça ça commence mal une journée. Je vous ai pas parlé
vraiment de mon monde intérieur mais tout ça en fait partie mélangé à l'anxiété
et à l'angoisse. Je suis trop bavard, le silence est plus
zen... Je vous laisse donc sur ce silence en vous
remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
Bernard
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