mercredi 3 septembre 2014

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les nouvelles, les actualités. On y parle beaucoup de différent artistes dont des muralistes. J'aime beaucoup cette forme d'art mais je suis incapable de nommer le créateur à partir de son oeuvre. Pour moi les oeuvres de la rue se confondent. Comme toujours je sais pas ce que je vais vous écrire. Je pense à la photo qui accompagneras le texte et je ne sais pourquoi aux Nazi. J'ai pris mon café, ai hate de partir pour Londres. C'est la nuit les lumières du parc éclairent toujours.J'ai la tête vide, vous y croyez? Je suis pas journalistes c'est pas pour rien. Je crois que le copain a raison j'écris très mal, j'ai pas la plume gay. La poésie des victimes des abusés. Je voudrais avoir finis avant de commencer. J'essais comme toujours de faire de mon mieux. Je pense à la lectrice enceinte de l'Outaouais, le bébé est pour bientôt on m'a dis qu'elle est grosse mais c'est beau une femme enceinte. Je compte les lignes que je vous écris, pense au cours d'économie du secondaire. Le climatiseur est arrêté cette nuit on est bien c'est frais. J'entend la sonnerie du Ipad, parfois je crois que je suis sourd. Hier à la bibliothèque on m'a signalé que je parlais trop fort. Je comprend que les gens préfèrent le calme et le silence. Bon puisqu'il faut, il faut, vous parler de la commission Charbonneau ou on entend Tony Accurso, nouveau retraité, à date il a rien dis de vraiment éclairant et c'est étonnant d'entendre cet homme en fin de carrière. Les choses ne lui appartiennent déjà plus je crois.Il voulait toujours avoir de l'ouvrage d'avance pour ses employés. C'est bien mais y'en a certainement qui ont pas résisté à la pression. Ils ont pas encore parlé du fameux bateau et de qui se trouvais là, ça devait être bien arrosé.Je sais pas pourquoi je vous écris là dessus ça me regarde pas, c'est pas de mes affaires, les égouts et l'asphalte, la machinerie, les tracteurs, les pelles mécanique j'y connais rien. Je suis très loin de mon monde intérieur, chez moi y'a un parfum d'étable, je me lève tôt comme si je devais faire le train, aller traire les vaches, leurs donner du foin. Parfois quand je sort je me sent persécuté, y'a des phrases méchantes que j'arrive pas a saisir mais qui me sont destinées. Tout ça ça commence mal une journée. Je vous ai pas parlé vraiment de mon monde intérieur mais tout ça en fait partie mélangé à l'anxiété et à l'angoisse. Je suis trop bavard, le silence est plus zen...                              Je vous laisse donc sur ce silence en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

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