dimanche 15 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin dans LaPresse+ on annonce la disparition du blog!!! Je sais pas quoi dire, peut être que c'est comme la T.V. et les livres ils sont pas disparus depuis l'apparition d'internet... Ce matin c'est grand soleil. Je veux juste vous dire comment je me sent. J'espère qu'en Ukraine le cessez le feu est en vigueur. J'ai mal de voir tout ce sang de civils. Fait froid en Ukraine... Terrorisme à Copenhague, ça coupe les désirs de voyage même ici à Halifax on a contré des meurtriers. Je devrais revenir sur ce que je sent, ce que je ressent, la peur oui! Semble qu'écrire un blog c'est une valeur diminué. Dites le moi si vous trouvez que ça vaux rien. J'ai mal je suis jamais à ma place, les journalistes ont toujours le dernier mot, ils m'interdisent d'écrire. Y'a qu'eux qui peuvent s'exprimer évidemment qu'ils diront pas qu'ils se gavent de Mae West pendant la rédaction de leur papier. O.K. d'accord je suis pas un vrai écrivain mais à part écrire je sais pas faire grand chose. L'entretien ménager je l'ai déjà fait ça m'ennuyait, j'ai abandonné. Je l'abandonne pas le blog qu'on en pense ce qu'on veux. Je sais tout ça va avoir une fin mais comment? Ça circule dans les escaliers de l'édifice, ce matin je m'ennuis pas trop. Je regarde les autobus passés, je me rappelle du bonhomme à la maison de chambre qui déplorais qu'il n'y ais pas plus de circulation devant, un chauffeur de taxi qui aimais regarder les voitures passées. J'écris très mal, dehors dans le goulag occidental des enfants parlent. Je remplis mon mal intérieur en mangeant, mais non j'irai pas chez les outre-mangeurs. Je brûle mes calories. Je vous vois à l'autre bout devant votre écran vous lisez ceci et vous croyez que j'en fait une maladie. Peut être, je suis un écrivain du dimanche et ne suis pas "à la recherche du temps perdus" que j'ai jamais lu parce que justement je voulais pas perdre mon temps a lire la bible gay. C'est ici que ça me fait mal j'écris ce que je pense et je suis pas un Imam djihadiste. Ça m'étonne toujours comment il faut accueillir l'autre avec ses différences et qu'à la moindre des miennes on me disqualifie dans la sphère publique. Je sais pas trop ce que je dis. J'ai l'impression d"être à part mais je suis pas seul. J'ai pas beaucoup de lecteurs, trices. Ce que j'écris je le tiens pas d'autorité, j'ai jamais étudié. Je suis juste allé a l'université de la vie mon diplôme ès Art je l'ai pas. C'est juste les commentaires d'un ti-jos connaissant qui répète et répète, qui crie sur tout les toîts. Je cesse de crier, j'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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