lundi 16 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les actualités, pas grand chose de neuf et surtout rien a dire. La semaine passé certaines personnes remettaient en question l'utilisation de la première personne du singulier... Mais comment voulez vous que je vous écrive et là je cherche un moyen de revenir à la deuxième personne. Tu en a assez de mon blog tu a qu'a pas le lire. Vous voyez ce que ça donne. Je m'enfargerai pas dans les fleurs du tapis après tout c'est moi qui écris et parfois c'est près de l'autofiction. Ce matin mon corps crie.C'est le matin tôt y'a pas de traffic automobile à quatre heure quarante trois tout est arrêté c'est le meilleur temps pour faire des mauvais coups sans jamais oublier que le goulag occidental est sous surveillance caméra vingt quatre heures sur vingt quatre. J'ai pas envie de faire un mauvais coup, j'ai la respiration bruyante. Je pense au cuir de cochon sans savoir si ça existe... Dimanche prochain y'a un tournoi de bowling, après des années a trouver ça ridicule voilà qu'on s'y met, c'est bien, c'est distrayant, ça permet de rencontrer du monde. Je sais pas ou ils en sont en Ukraine ce matin, j'espère qu'ils respectent le cessez le feu. Non! Non! Non! Je suis pas Victor Hugo ni VLB, j'essais de me reprendre pour l'époque ou j'écrivais pas. Si je regarde ça c'est un moment plutôt cour dans ma vie. J'arrive pas a vous faire rire, je suis pas un humoriste. Je préfèrerais que vous soyez ému, vous en faites pas je suis pas un échappé de l'asile dans le goulag occidental on nous laisse en liberté on peux se les geler ou et comme on veux. Ouais! C'est lundi matin,on rentre à l'ouvrage, je détestais ce moment là prendre le premier métro pour commencer a travailler très tôt maintenant je me lève de bonne heure parce que je suis libre de le faire, du moins je le crois, et je vous écris. Tout à l'heure je vais sortir pour une réunion de mon groupe d'entraide ça devrais être des moments enrichissants. La journée qui commence c'est toujours tranquille. Je me souviens de ces nuits passées a bambôcher, en me rendant au travail je dormais dans les voitures du métro. Je croyais jamais que je me sortirais de ça maintenant les journées sont trop courtes les trajets sont moins longs. Vous voyez j'écris presque toujours dans le même format le défi c'est de durer dans le temps. Y'a pas vraiment de critique qui commente ma prose qui m'aiderais a advenir, comme disait le poète, au monde. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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