mercredi 25 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir tout le monde! Aujourd'hui je suis à boutte, l'énervement de partir encore en voyage je crois. Je vous en dirai plus quand j'aurai le billet et la réservation d'hôtel. J'ai quand même hate, un autre voyage en avion c'est pas rien. Aujourd'hui dans le goulag occidental, je continus a nommer mon quartier de ce nom là même si ça déplait à certains, il neige. Si seulement on pouvait parler d'une forme de goulag moins dure avec quand même l'hiver et l'exil. Je vais vous dire qui a peint la toile qui apparait su mon post précédent, c'est Éric Forget un ami que j'apprécis. J'écris très mal cet après midi. Je suis écartelé entre les cahiers, la préparation de mon intervention en voyage et le blog. Je mange des bâtonnets aux sésames et je m'auto-dénigre. J'ai pas besoin de personne pour me rabaisser pourtant je crois qu'on apprécie ce que je suis. Dans mon dénigrement je prie, je sais ça vous fait rire mais moi ça m'apaise. Hier j'ai bien vu que j'avais des limites, je comprend absolument pas la réforme de la santé et des services sociaux. J'en viens a dire que je peux pas être ni contre, ni pour quelque chose que je comprend pas. Vous avez affaire ici à un type qui a pas son secondaire trois. La gestion... Y'avait un vieux dicton qui disait qu'il fallait rester loin des hôpitaux si on voulais pas tomber malade. Je crois que je vous l'ais écrit y'a pas longtemps. Je crois faire tout ce qu'il faut pour rester loin de l'hospitalisation. Je vais dehors, je m'implique dans la cause de la pleine citoyenneté. Je crois que ça me réussis. Y'a longtemps, et je m'en souviendrai toujours je passait beaucoup de temps a entrer et a sortir de HMR. Je crois que le psy a fait une bonne job avec moi, je suis pas guéris, je me traite et je me rétablis. Dans les bonnes journées je trouve les gens gentils mais je dois prendre conscience que j'ai pas de pouvoir sur les autres. J'en ai que sur moi m'a vision des choses comment j'appréhende l'autre. Ce que je vous écris là ça ressemble à de la psychologie cent un c'est pas très poétique. J'aimerais être un poète, nommer les choses précisément, sans fautes. Mettre un nom à ce que je ressent, le poète disait tel est ma quête. Nommé ce malaise intérieur qui me prend je ne sais pourquoi ni comment mais qui fait mal, une douleur toute psychique. Ce qui me viens en tête comme ça c'est dolorosa. Finalement il neige beaucoup on vois rien devant. Je suis à l'abri heureusement. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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