jeudi 26 mars 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit c'est l'insomnie quoi que j'ai dormis un peu entre dix neuf heure et minuit. Le goulag occidental est calme, lentement la neige fond, on vois les crottes de chiens que les gens ont pas ramassés.L'édifice est silencieux.Ce matin je vais parler de pleine citoyenneté et de rétablissement.Je me suis rasés...Je suis nerveux j'espère que je vais bien faire. Le matin quand je suis seul et dans le silence les voix me dénigrent pas, j'ai besoin de ce silence. Les insolations me démangent. Cette phrase là est très laide mais essentielle... Je pense aux toîts de tôles des maisons en Guadeloupe, en vacance on arrive a oublier le volcan et même par affaire la Soufrière se fait oublier...Saint-Claude c'est jolie tant que le volcan fait pas éruption. Quoi vous écrire de neuf? Vous trouvez peut être que j'écris trop, vous avez pas le temps de me suivre, l'écriture c'est ma survie, non j'ai pas de doctorat en y repensant bien je crois que l'université de la vie m'a mieux servie que les bancs de l'école. Voilà les voix qui surgissent je ne sais d'où et qui me traitent de pauvre plouc... Cette semaine y'a une revue Science et Avenir qui traite de schizophrénie, dehors y'a un gars qui sacre je crois que c'est après moi pourtant il me voie pas je suis caché derrière le rideau. J'écris pour mes amis, pour la famille les autres je crois qu'ils veulent que je me taise. Je pense à Josée Yvon qui disait qu'il fallait tout écrire. J'imagine que c'est le propriétaire de l'immeuble qui sacre après moi et me dis de lâcher le bloc ou le b.s.J'aime pas quand on viens gueuler à ma porte. Tout travail mérite salaire et oui madame j'ai double statut. Je veux pas vivre avec la peur de perdre ma job et suis trop malade pour faire des huit heures par jour,ça me cause quand même des problèmes de conscience. Je sais je devrais me cacher et parler avec la voix plaignarde du malade. J'ai pas envie de jouer ce jeux là comme je l'ai déjà écris je plaide coupable de pauvreté. Je pense au camelot de l'itinéraire qui crois que je le niaise, c'est pas volontaire je le sais qu'un jour je vais me retrouver devant rien. J'ai peur, j'ai peur, j'ai peur... Me reste que une ou deux lignes a écrire. Je serai jamais en paix pourtant je me souviens d'un temps ou j'étais bien. Je dois corriger ma direction je sais pas si je vais y arriver pourtant je crois que je suis honnête. Je travaille, ce que j'écris là en est là preuve. Enfin! Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard  

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