jeudi 5 mars 2015

Au présent

Bonsoir!Bonjour! Me suis versé un verre de jus d'orange ça me fait pensés au petit déjeûner à l'hôtel.J'ai hate de partir semble que mon billet est acheté.Quitté le goulag occidental pour une couple de jours ça feras pas de tort.Je vous écris de la soirée.Je sais pas ou ils ont pris mon nom mais on m'invite à des allocutions de Justin Trudeau pourtant je suis pas un homme d'affaire encore moins libéral. J'ai jamais été dans aucun partis et je garde ça de même. Je parlerai pas plus longtemps de politique même si tout est politique. Cette semaine j'ai appris qu'un intervenant ami prenait sa retraite, je lui souhaite Cuba La Havane son rhum et ses cigares. Cuba les frontières sont presque ouvertes aux américains çe seras plus la chasse gardée des canadiens. J'en connais qui vont essayer de ramener leurs petites cubaines ici. Ai mangé un yogourt et fait un café. Je pense aux nombres de médecins à Cuba. Je sais pas si j'irais me faire soigner là. Comment ils soignent ça la schizophrénie? Dans des camps de travail? Au goulag occidental on nous laisse à nous même faut inventer sa vocation, y'en a qui quêtent d'autre ramassent des bouteilles et d'autres encore font de petits traffics. Pour revenir à Trudeau je crois pas qu'il ait une grande connaissance de la vie dans le goulag occidental. J'ai toujours l'impression que c'est un petit gars de Westmount qui surfe sur la popularité de son défunt père.  Je crois que j'ai des lecteurs franchement libéraux j'attaquerai donc pas leurs convictions. J'écris ça et je sais pas quoi écrire d'autre y'a un grand vide. Un grand vide porté par le niaiseux que je suis . C'est toujours comme ça quand j'écris sur la politique c'est pas fort ça me remonte pas l'ego. Ce soir c'est encore l'hiver de mars, je sais pas si y'en a qui vont dormir dehors c'est quand même très froid. Aujourd'hui je vais faire de la lessive voilà une chose que les grands auteurs tout occupés à leurs passion créatrice faisaient pas. La lessive c'est pas porteur de poésie, les chaussettes qui manquent les vêtements qui rapetissent parce qu'on les a mis dans le séchoir c'est de l'ordre de la platitude du quotidien.À l'époque y'a pas si longtemps y'avait quand même la corde à linge celle sur laquelle on couchait et cette autre ou on faisait sécher au grand air. Les draps avaient une fraîche odeur et quand on en couvrais le lit ça vous berçais pour la nuit. Je vous écrirai pas un traité de lessive, le petit change qui roule dans le séchoir, je vais juste le ramasser et le déposer dans ma tire-lire. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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