jeudi 14 mai 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour sur le shift de nuit.J'ai dormis au frais la fenêtre ouverte.Je vais essayer de vous dire comment je me sent ce matin. Je pense à cette femme avec qui j'ai habité quatre ans ou j'ai dormis au bord du lit la fenêtre ouverte l'hiver il faisait froid.Je sent une urgence d'écrire. Je me suis couché pour aussitôt me relever.Je pense a m'acheter des bottines de randonnées mais je marche plus beaucoup ce serait pas très utile. Depuis que je me suis fait voler une tablette électronique j'ai peur des jeunes noir.J'ai faim, je veux pas manger ça va m'endormir pourtant je mange des LU chocolat au lait. Il est quatre heure quart tout le monde dort.Je veux plus jamais partager mon lit, je ne dors que seul.Je fait le tri dans tout ce qui passe dans ma tête cherche ce qui pourrait vous intéresser. Dans la journée ensoleiilé je pense toujours à mon dernier voyage. J'ai toujours envie de repartir peut être à New-York pour visiter le Guggenheim mais j'ai surtout envie d'être à l'aéroport de prendre l'avion, je radote je vous ai déjà raconter ça, c'est une obsession l'avion.  "Gimme a ticket for an aeroplane, I aint got time to take a faster train, lonely days are gone, i am going home, my baby wrote me a letter" une vieille chanson pop que le regretté Joe Cocker chantais je crois. J'y arrive, j'y arrive à mon état d'esprit, les couilles sur une chaise en bois. En voyage y'avait les bananiers, la canne à sucre mais on voyait personne y travailler.Ai pelé une orange, un bon parfum, je l'ai mangé en pensant à l'urinoir de Duchamp quoi que le matin on pense surtout à la pipe de Magritte. Bon! L'absurde l'orange étais juteuse mais on s'en fout c'est pas un ready made que je vous écris là c'est difficile d'écrire sans sens, sent, cent. Quand je vais finir d'écrire ce texte je veux me sentir bien, bien comme quand je suis assis à la terrasse d'un bistro à Paris et que je sirote un café en regardant les gens passé. Ce matin je suis loin du goulag occidental, je suis dans les souvenirs de Paris. Je me demande combien y'a de gens malheureux qui bossent en France quand j'y vais je suis toujours en vacance. Je vois pas le mal de la galère. Je me suis éloigné de mon sentis j'entend une voiture, il klaxonne. Bientôt six heure ce seras le départ pour le boulot, allez se faire suer pour quelques dollars qui ne payent même pas le beurre, les sandwichs au pain tranché tout les midis quelle horreur!!! En attendant je vous laisse réfléchir et je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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