vendredi 10 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pendant que les enfants jouent dehors, je reste chez moi, un chez moi climatisé. C'est étrange chaque fois que je commence a rédiger mon blog on entend la sirène du camion de pompiers. L'été je dessinais les emblèmes des équipesde la LNH. J'aimais les six équipes originales. Parfois on allait voir le match de baseball des Expos, j'ai vu jouer Rusty Staub et Pete Rose qui jouais pour  Cincinatti, il est même né là. Je pourrais vous défiler des noms de joueurs mais je crois que j'ai pas d'amateurs. On avait des bons sièges le long de la ligne de premier but. J'aimais bien les peanuts et les hot-dogs c'était au parc Jarry ça a fait revivre le quartier Villeray ou habitais des cousins. J'ai de la musique de Peter Gabriel dans la tête c'est assez complexe... J'essais de me souvenir du nom de la première brasserie sur Saint-Laurent pas loin de Crémazie, ma lectrice retraitée s'en souviens certainement. Fallait que je sois alcoolique me promener dans tant de débits de boissons. Les abreuvoirs comme écrivais le regretté Rocky Rhéaume Brisebois. Mack Jones on avait nommé les sièges du champs gauche en son honneur, Jonesville. Pourtant je regarde plus ça le baseball. Je préfère le football. Y'a un match ce soir... Toujours exilé dans le goulag occidental d'accord c'est pas un vrai exil comme celui de Jean Martin Aussant mais je peux pas croire que ma patrie elle est partout sur ce grand territoire. Ici c'est mon refuge l'endroit ou je me sent bien. Je sais que pour vous le goulag occidental c'est le faubourg à m'lasse, un quartier populaire rasé en partie par la construction de Rédio-Kénada. Dehors y'a le ronronnement d'une moto grosse cylindrée, y'a un parfum de soupe quand je vous écris j'essais de me contenter. J'ai toujours cette nostalgie du voyage pense à mes lecteurs de l'Outaouais qui sont bien chanceux avec leur Courailleuse. J'écris peut être un peu trop vite, l'enjeu c'est toujours d'écrire comment je me sent, à travers mes mots j'espère que vous saisissez mon état d'esprit. Je rédige, je rédige et ça vie peut être pas de la vie que vous voulez mais la mienne unique et aimée. Téléphone, téléphone mon bizou c'est du rock pas du biniou, une chanson dont je me rappelle plus les interprètes. C'est pas le regretté Alain Bashung et sa magnifique "Osez Joséphine". Comme toujours je sais pas comment terminer ça. C'était quelques mots pour vous tous. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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