dimanche 12 juillet 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le temps passe vite, j'étais partis sur une montée de lait face à ma solitude du week-end. Je vous épargne ça, j'ai plutôt dormis et lu les actualités. Je suis un peu vieux pour faire l'écrivain généraliste.Il fait beau et chaud dans le goulag occidental ça rend la misère moins pénible. Je me souviens à Pointe-Saint-Charles d'une promotion ils donnaient des liqueurs douces ça avait tournée en échaffourrée, les femmes se prenaient à la gorge... Je cherche quoi vous écrire pense aux chroniques des professionels. Le matin comme ça je me sent pas, ai lu les chroniques de voyages dans LaPresser+ j'ai juste envie de partir. Ai fait la visite virtuelle de la maison au Mexique de mon lecteur de Deux Montagnes, ça donne envie de partir. Lentement je prend mon café Je suis vide pourtant c'est lourd après tout ça je vais téléphoner à la matriarcheé Je pense au palais du mégalomane Ceaucescu, la folie des grandeurs pour un petit peuple... Cette semaine j'ai regardé une émission sur la Polynésie française c'était d'une beauté je savais pas qu'ils avaient des oranges sauvages... Une autre émission sur une ville très touristique, des touristes russes en Thaïlande. Je voyais pas la Thaïlande développée comme ça. Je me fiait aux photos de mon lecteur chauffeur d'autobus, les thaïlandais et le pays reculé si je peux écrire, si il a besoin d'un partenaire pour un voyage qu'il me fasse signe. La solitude ça se passe surtout dans ma tête, je comprend les gens qui fuient dans toutes sortes d'activités et qui veulent pas se sentir veulent pas s'entendre. Cette voix là je vous l'écris ici parfois elle est muette, un copain me signalais la difficulté de faire confiance à sa petite voix quand on est paranoïaque, c'est vrai mais il faut toujours vérifier. Ce matin j'ai pas envie de terminer, je veux vous écrire un blog épique un blog qui finis pas, c'est bien ça épique! Mais je veux pas vous ennuyer. Mais oui je suis un Ti-Jos connaissant qui connais bein des affaires mais qui sait pas quoi faire avec. Je me dénigre je sais pas pourquoi. Je préfère qu'on me donne de la valeur et pas trop à ce que j'écris. J'attend que ça monte lentement j'écoute, le climatiseur ronronne. Je sais pas qui me lis vous êtes quand même pas des centaines.Ça marche quand même toujours dans ma tête je dois faire le choix de ce que je vais écrire et la façon de l'écrire. Ça sert un peu à ça mettre de l'ordre dans ce brouhaha cérébral. Je sais que vous aimez pas quand c'est trop long, je vous laisse donc en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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