mardi 18 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! "il est minuit j'écoute ma ville qui dort"-Michel Rivard. Cette nuit c'est une chaleur pesante sur le goulag occidental.Je me trouve un peu épais de me livrer à vous comme ça. Hier on a eu un magnifique B.B.Q. burger et blé d'inde. Je sentais malgré tout les gens prisonniers dans leurs têtes. Me suis fait un café, j'entend des mots arabes qui passent dans ma tête, je sais pas ce que ça veux dire Allah me parle. On va laisser ça là les intégristes aimeront pas ça. Je pense à cette femme aux yeux fatigué qui portais le Niquab, elle étais complètement couverte sauf les yeux qui étaient très éloquent. Je pense à la guerre à ce qu'a dus subir cette femme là, à ses enfants perturbés qui n'écoutent que le père. J'ai vu ça sur la croisière à New-York... Y'a la liberté qui est parfois si exigeantes qui demande de prendre ses responsabilités c'est dur à vivre,les institutions ne sont plus coercitives à moins d'être en prison. Je sais pas ce que j'écris là..."Prend une chance avec moé, je m'en vas tout te donner"-Lucien Francoeur, c'est un peu ça j'ai l'affect déchiré plutôt que d'être dans tes écouteurs je suis dans ton écran.Il pleut, j'ai un coup de soleil.Je te donne tout mes mots, tout ces mots qui ne sont pas d'un érudit, des mots que je veux simple avec un peu d'esprit.Je me suis levé je croyais qu'il étais une heure cinquante neuf mais non il étais onze heure cinquante neuf. C'est pas la chronique d'une mort annoncée, je veux pas crevé. Y'a tout ces gens arrivés en Amérique par bateau qui ont vu la mythique statue de la liberté, oui on est libre mais libre jusqu'au dernier dollar qu'on a dans les poches, libre de se faire organiser, " There is a sucker born every minute" c'est à peu près ça. Sur la plage on vois des personnes grasses, huileuses qui scintillent au soleil,les adonis et les apollons sont ailleurs peut être à Nice sur la côte d'Azur. Les plages populaires sont pour les gros bedonnants comme moi. Y'a ces bandes d'enfants de cette ville qui ont le plus beau terrain de jeu, le lac, la plage. Cette nuit je suis vidé j'arrive pas a vous écrire la plus intime de mes pensées, c'est ce que veux le poète nommé la douleur de vivre, le mal de l'existence et tout ça c'est raté parce que justement ça tente la poésie et n'y arrive pas. Mais comme toujours je prend la liberté d'écrire en sachant que les rues ne sont pas pavées d'or, qu'après la nuit viendras une autre nuit et je dirai, je dirai... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire