dimanche 8 novembre 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je reviens encore ce soir,respire par le nez... Si vous saviez comme j'aurais aimé être poète, il  fait déjà noir, il est un peu passé dix sept heure, disont que j'écris un poème épique c'est un peu ça tout ces blogs. Les journées passent tellement vite j'ai peur.Je pense toujours à partir mais seul c'est assez cher. Cuba peut être... Je pensais retourner à New-York mais les hôtels pour personne seule dans Manhattan c'est cher. C'est surtout l'avion que je veux prendre... Semble que Bombardier a vendu quatorze Cseries c'est bien. J'aime les avions en vol, à terre, quand je suis assis dedans quand je les regarde voler, ce sont de belles machines. Je suis désolé quand je vois ces attentats aériens.Je sais pas quand ça va finir cette guerre de terroristes, pas de si tôt je crois faut vivre,exactement faut vivre et ne pas laisser place à la peur des kamikazes. Ce soir c'est le gala des artistes ça m'intéresse plus tellement ces évènements. J'écoute plus beaucoup de musique, pense à la magnifique guitare Gibson SG de mon lecteur de Terrebonne chauffeur d'autobus. Je réfléchis vous écris lentement sans trop de mots savants pense au poète Denis Vanier à Desbiens le poète franco-ontarien. Je comprend pas pourquoi ils noient leurs poésie dans l'alcool. Desbiens je pense que c'est Patrice. Le désespoir c'est une partie prenante de la poésie parce que on n'est que demi-Dieu et on sait qu'on va mourrir pourtant l'alcool accélère la mort, amplifie le désespoir même si pour un moment on cesse d'être paranoïaque. Je sais pas si y'a du sens a chercher une certaine noblesse dans les lettres comme toujours faut lire autre chose que Le Journal de Montréal. Je pense pas que Pierre Karl Péladeau est un intellectuel... Y'a une porte qui cogne dans l'édifice, y'a ces dames qui disaient que je connais la vie. Je crois oui un peu plus qu'à vingt ans. Cet après midi j'ai rédigé mon cahier et le compte rendu de la réunion de mon groupe d'entraide. Je pense à ces hangs-over qu'on a quand on bois trop et le changement de personnalité avec l'alcool. Je suis con, con à n'en plus finir dans ces moments là je pense a fuir, fuir à Paris dans une chambre de bonne et écrire pourtant je sais que plusieurs ont essayé mais peu on réussis, ce serais une autre façon de gâcher ma vie. Je termine et vous écris que je me suis rasé et parfumé que comme toujours ça sent bon et comme toujours j'aime ça. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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