Bonsoir! Bonjour! Je reviens encore ce soir,respire
par le nez... Si vous saviez comme j'aurais aimé être poète, il fait déjà noir,
il est un peu passé dix sept heure, disont que j'écris un poème épique c'est un
peu ça tout ces blogs. Les journées passent tellement vite j'ai peur.Je pense
toujours à partir mais seul c'est assez cher. Cuba peut être... Je pensais
retourner à New-York mais les hôtels pour personne seule dans Manhattan c'est
cher. C'est surtout l'avion que je veux prendre... Semble que Bombardier a vendu
quatorze Cseries c'est bien. J'aime les avions en vol, à terre, quand je suis
assis dedans quand je les regarde voler, ce sont de belles machines. Je suis
désolé quand je vois ces attentats aériens.Je sais pas quand ça va finir cette
guerre de terroristes, pas de si tôt je crois faut vivre,exactement faut vivre
et ne pas laisser place à la peur des kamikazes. Ce soir c'est le gala des
artistes ça m'intéresse plus tellement ces évènements. J'écoute plus beaucoup de
musique, pense à la magnifique guitare Gibson SG de mon lecteur de Terrebonne
chauffeur d'autobus. Je réfléchis vous écris lentement sans trop de mots savants
pense au poète Denis Vanier à Desbiens le poète franco-ontarien. Je comprend pas
pourquoi ils noient leurs poésie dans l'alcool. Desbiens je pense que c'est
Patrice. Le désespoir c'est une partie prenante de la poésie parce que on n'est
que demi-Dieu et on sait qu'on va mourrir pourtant l'alcool accélère la mort,
amplifie le désespoir même si pour un moment on cesse d'être paranoïaque. Je
sais pas si y'a du sens a chercher une certaine noblesse dans les lettres comme
toujours faut lire autre chose que Le Journal de Montréal. Je pense pas que
Pierre Karl Péladeau est un intellectuel... Y'a une porte qui cogne dans
l'édifice, y'a ces dames qui disaient que je connais la vie. Je crois oui un peu
plus qu'à vingt ans. Cet après midi j'ai rédigé mon cahier et le compte rendu de
la réunion de mon groupe d'entraide. Je pense à ces hangs-over qu'on a quand on
bois trop et le changement de personnalité avec l'alcool. Je suis con, con à
n'en plus finir dans ces moments là je pense a fuir, fuir à Paris dans une
chambre de bonne et écrire pourtant je sais que plusieurs ont essayé mais peu on
réussis, ce serais une autre façon de gâcher ma vie. Je termine et vous écris
que je me suis rasé et parfumé que comme toujours ça sent bon et comme toujours
j'aime ça. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard
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