mercredi 20 janvier 2016

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est une vrai journée d'hiver de janvier, la lumière est superbe, le ciel est dégagé. Cet après-midi je vous avoue que je sais pas où je vais. Ai pris un café et mangé un chausson aux pommes Comme à chaque fois que je vous écris j'ai la tête en voyage. Je sais pas si je vous ai beaucoup écris sur Milan la capitale de la mode, c'est des beaux souvenirs... Trieste aussi, Besançon, Lille, Londres, Paris, New-York, Boston, La Guadeloupe ce sont mes voyages des dernières cinq années. Je pense aux avions à L'Iran qui va peut être acheter des CSeries, à Delta airlines aussi, ils en ont parlé tout le monde espère, chez Bombardier ils ont augmenté la cadence. Je partirai pas cet hiver je suis trop occupé. Y'a mes snowbirds de l'Outaouais qui s'en vont en Floride avec La Courailleuse une magnifique roulotte, je leurs souhaite bien du plaisir pendant qu'ici je vais manger des oranges. Y'a toute ces voitures qui brûlent de l'essence, les gens ont encore un gros train de vie. J'attend un nouvel ordi, voilà les choses personnelles dont je vous parlais précédemment. C'est mon lecteur chauffeur d'autobus de Mascouche qui s'en occupe. Sur la rue y'a des camions remplis de calcium qui passent. Chez moi il fait frais, vous voyez c'est des niaiseries que je vous écris. Je doute de mon talent, je suis penché sur mon clavier a essayé je ne sais quoi. Je pense au programme avatar de l'institut Philippe Pinel ça me fait peur... Voilà une autre journée qui passe, je veillis c'est affolant, pour un fou affolant c'est double une sorte de schizophrénie. Sur Facebook y'en a qui écrivent vraiment n'importe quoi... Je pense à ces jeunes hommes malades qui travaillent, c'est bien mais après, on fait pas une vie avec des petits boulots au salaire minimum et encore plus quand la maladie est virulente. Cette folie ou on cherche j'ai plus l'âge de trainé dans un bistro... Tout à coup j'ai mal, j'essais de réussir quelque chose avec l'écriture sans savoir si j'y arriverai. Jugez vous même, le pauvre fou que je suis sait trop bien que la folie c'est pas joli. Y'avait ce patron de bistro qui m'appréciait pas pourtant j'y retournais toujours. Y'a longtemps de ça maintenant je préfère être seul et vous écrire ces salmigondis, c'est pire? C'est mieux? Je sais pas vraiment, on aime pas les gens qui sont sur la solidarité sociale. Je pense qu'un jour je vais me laisser crever comme ça sans me débattre ce seras une libération. Je vous abandonne en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! Au revoir!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

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