mercredi 23 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Demain vous pouvez m’entendre à dix heure du matin sur http://radiocentreville.com/wp/304-2/  sinon vous pouvez revenir plus tard à la même adresse. Mais là je veux vous dire comment je me sent, j’ai chaud, je suis allé dehors habillé comme un oignon et je viens de rentrer tout s’est bien passé à part peut-être à l’entrée du métro au tourniquet, un gars avec un billet non valide qui parlais de chien et un autre sur le quai du métro Berri qui parlais de cochon sur son portable et il avait pas l’air d’un éleveur. Ce   matin je me suis cogné le pouce avec un marteau en réparant une chaise, j’en perds sur les travaux manuels. Je cherche a vous dire la solitude qui me pèse, ces deux idiots qui croient que je m’attaque au Mythe Nelligan, je m’en crisse de Nelligan on fréquente les mêmes murs mais pas le même monde, à mon âge il est temps d’abandonner la littérature pour adolescent et je me demande si il vaudrais pas mieux d’abandonner la « littérature », les lettres on laisse ça aux éditorialistes… Je délire, je délire je vous conte des pipes j’arrêterai pas d’écrire et je vais cesser de harceler là webmestre… Comme toujours je cherche les mots, la sueur me coule dans le dos et c’est l’angoisse. Je devrais pas déranger les gens qui gagnent leurs crôutes qui travaillent dans l’urgence, voilà je suis un pauvre idiot, c’est pas nécessaire d’écrire ça, de faire de la réclame. Parfois j’ai envie de tout crisser ça là! Mais vous ça vous dérange pas la nature de l’écrivain raté, y’a personne pour me dire allez vous êtes renvoyé… Je crois que je vous ai déjà écris un délire du même genre. Je déborde pas de confiance en moi, quand j’écris sur ce ton là, les pensées mortifères reviennent mais faites vous en pas je passerai pas à l’acte… J’ai jamais trouvé d’autre façon de survivre qu’en écrivant, je sais je suis pas léger mes nuits emportent le soleil, hé oui! C’est noir je vous l’aurai dis, les chirurgiens sont plus sérieux que moi, en fait tout les spécialistes de la santé… Brel chantait « on se crois mèche on est que suif » , c’est pas vraiment le temps de citer Brel avec ce qui arrive en Belgique. Vous me pardonnerez. Tais toi! Tais toi! Mais quoi? On peux plus écrire, ça prend une médaille de l’union des écrivains? J’ai un rush d’émotions négatives, je suis un sale con… J’ai pas de mentor et je me fait mal, blessé de partout je m’arrache… Je sais y’en a des biens plus capables que moi, des plus onctueux, des plus sirupeux, des plus merveilleux moi c’est la voix d’un pouilleux d’un vieil affreux,rien de sucré je sais vous aimez le mielleux. C’est pas avec ce que je vous écris là que je vais intéresser le Pen Club. Enfin je termine là-dessus j’espère que vous êtes pas trop débinné. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

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