dimanche 15 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Le froid est là, j’arrive pas a décider de vous écrire. Les arbres sont vert mais le temps est triste. Je me prépare un café… Je pense aux percussionnistes aux joueurs de tam-tam dans les manifestations, ça m’énerve ça viens d’où cette coutume? C’est encore des granos, l’ami dirait des « peace and love », parfois les vieux soldats en veulent à ceux là, je sais pas trop pourquoi? Parce qu’ils sont des bagarreurs et les plus jeunes ont d’autre valeurs. Ce soir c’est pas très bien écris, je pense à Cannes aux spectateurs aux publics on croirais y voir bobonne et sont bonhomme mais non ce sont de tout jeunes gens encore là c’est une question de valeurs les paillettes et le clinquant… Je reviens dans les parages intérieurs comme toujours j’arrive pas a nommer mes sentiments c’est encore l’angoisse et l’anxiété comme si ils n’y avait que ces deux là pour nommer une douleur proche de la peur. Je pense à mon couple de neveux qui attendent un bébé c’est pour très bientôt elles vont la nommer Raphaëlle, le patriarche se prénommait comme ça… La nouvelle bouilloire fait bien la job, quelques propos domestiques dans ma fébrilité. Je suis pas serein, je m’ennuis à plein, je cherche le rythme le mien, je suis pas un saint pourtant y’a toujours demain et le divin… Je me suis fait longtemps dire que j’étais un sans génie, aujourd’hui c’est difficile d’en avoir, j’ai pas de génie ce que je touche deviens pas de l’or. Je veux pas d’une fausse humilité, je pense à ma lectrice de Deux-Montagnes j’espère qu’elle et mon lecteur vont bien. Ici j’ai un  livre dont l’auteur a le même nom que ma lectrice… La température me déprime c’est comme si j’avais passé la majeure partie de ma vie sous un ciel nuageux. Attend moi! Attend moi! Je suis rarement en retard quoi que là j’ai de la difficulté a savoir ce que je vais vous raconter. La  première idée c’est la forêt avec la douce du temps j’aimais bien marcher dans la nature avec elle c’était ressourçant, y’avait de magnifiques points de vue, on voyait plus loin que l’horizon. Je sais bien ça a pas de bon sens mais on voyais loin. Parfois on marchait le long d’un cours d’eau pour revenir dans un sentier dans le bois, de vous raconter ça je suis ému j’aimais ça. On se baignais aussi c’était bien, l’eau étais rafraichissante, on partais pour une journée parfois y’avait des averses mais c’était pas grave. Ce fut de bons moments ne serait-ce que pour ça ça valait la peine. Mais c’était pas de la peine c’était de la joie dans la nature. Je me souviens en vacances on avait fait du canot c’étais fantastique de descendre la rivière sous le soleil. Je pense qu’aujourd’hui j’ai assez de nostalgie. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! J’espère que vous avez apprécié!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

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