mardi 17 mai 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je sors de mon cahier et vous écris ceci, on dirais toujours que c’est pas permis. Je prend un café en écoutant ce que dis mon âme, mon esprit… Je suis au bout de mes écritures. J’ai hâte de me rendre à Washington, il y a de grands musées, en fait un grand Musée le Smithsonian et plusieurs bâtiments. Fut un temps et je sais pas trop pourquoi je crachais sur les musées pourtant j’y ai longtemps trouvé refuge dans mes délires assaisonnés. Je crois que je vais me perdre dans Wahington… Me retrouver aussi une fois que j’aurai bien situé l’hôtel tout iras pour le mieux. Je vous le dis encore, j’aime écrire même si ça demande un effort, comme toujours je fais de mon mieux. Demain y’a un forum citoyen sur le travail, je crois qu’ils vont traiter de la façon de réintégrer le marché du travail quand tu as une maladie mentale. Je suis un peu vieux pour ces choses là tout près de soixante ans mais je vais mettre mon épaule à la roue. LinkedIn arrête pas de m’envoyer des offres d’emploi pour lesquelles je suis pas qualifié, un journalier ça a pas de diplôme j’ai eu de la difficulté a faire de l’entretien ménager, imaginé cadre! Le boulot que je préfère c’est ce que je fait maintenant, écrire… « Dis ce que tu pense, fait ce que tu dis, soi toi-même dans ce monde d’aujourd’hui »- Une vieille publicité de la bière Dow. Souvenir encore, malheureux celui là, où je me rendais pas à l’ouvrage parce que j’avais trop bu la veille, j’en étais psychotique et préférais rester enfermé chez moi. Je sais pas si c’est à propos de vous révéler ça, la bière me tuais. J’aimerais que tout ça soit de la grande littérature, mais mon monde intime est difficile d’accès. J’écoute ce que ça me dis étrangement c’est un des seuls moments où j’arrive parfois au silence… Je suis pas guéris, mais je réfléchis. J’ai toujours été ignorant surtout en ce qui a trait à la consommation, je voulais arrêter mais je savais pas comment m’y prendre, maintenant je le fait un jour à la fois tout passe par là sinon j’écrirais pas. Je pense à cette relation que j’ai eu avec cette femme, quatre ans, c’étais presque du sado-masochisme on s’aimais pas on se torturais jusqu’au moment où elle a remplis mes sacs vert et que je l’ai quitté avec mon affect déglingué. Ça me fait mal juste d’y pensé, tout ce temps a me torturer. Je vous écrirai pas sur la sexualité ça aussi c’est raté. J’aime mieux m’abstenir vous allez rire. Voilà pour aujourd’hui j’essais d’arriver à une conclusion pas trop boiteuse, quelques mots mais pas d’idée, un parfum de cigarette qui viens des escaliers. Je pense à vous tous qui lisez, j’espère vous faire plaisir et en avoir moi aussi. J’arrête donc là en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

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