jeudi 26 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous écris ceci dans la nuit. J’ai aucune idée où je vais. Hier j’ai regardé un documentaire le Rhône, le fleuve en France c’est magnifique. Ce qui est regrettable ce sont les manifestations partout en France, les grèves aussi ça coupe l’envie d’y retourner. Cette année ce seras du côté des U.S.A. Je pense à mes voyages précédents quand je suis passé à Venise en train, le service des trains Italiens est superbe. Je pense à l’ami directeur du programme des personnes âgées au C.I.U.S.S. de l’est de Montréal, il était là mais dans ses anciennes fonctions. C’était un voyage de travail, la section psychiatrie de l’hôpital de Trieste étais vide, le Docteur Rottelli successeur de Basaglia qui nous accueille et nous dis que nous allons réussir a fermer les hôpitaux psychiatrique, c’est déjà de la vieille histoire. Je pense à toutes ces psychoses qui mènent à des gestes malheureux, violence, suicides on a le devoir d’aidé ces gens là et je déteste cette expression, ces gens là, je pense à la magnifique chanson de Jacques Brel… Ce soir je vais essayer de me centrer, d’écrire sur mon senti, il est deux heure quinze du matin je suis bien réveillé, le voisin a installé son climatiseur je trouve qu’il est un peu tôt. Il vas y avoir d’autre journées fraîches. J’écoute ce que mon âme dis, je laisse couler ce flot de mots, de pensées, la cuisse me pique, je fais un exercice de méditation devant l’écran, c’est de la folie, ça se peux pas… Je vous mentionnerais bien tout un chacun mais je suis pas certain que vous aimeriez ça. C’est le grand cri pas le dernier, pense à la stakause ce que j’écris y’a que moi qui en suis responsable, lentement je m’avance vers vous je sais pas pourquoi j’écris ça vous êtes loin. Votre opinion m’importe beaucoup, autant que ça c’est pas sain. J’arrive de la salle de bain ça sent bon. Je veux pas revenir à ma mauvaise habitude de m’auto-dénigrer… Je pense à cette écrivaine anglophone que j’ai croisé deux où trois fois elle se faisait un devoir de me faire sentir comme un pourris, elle avait un gros ego comme on dis. Y’a des choses que j’arrive pas a mettre en mots parce que c’est pas le moment je crois. C’est la nuit je regarde le nombre de mots utilisés jusqu’à maintenant. J’y arrive, j’y arrive mais à quoi, quand je termine y’a un doux parfum de savon, tout à coup la circulation automobile s’est arrêtée, c’est calme. Parfois quand j’écris c’est comme si il s’était jamais rien passé dans ma vie c’est probablement parce que je suis bien branché sur le moment présent, le ici maintenant. Je pense à mes finales à comment c’est jamais l’apothéose. Reste que quelques lignes encore et je finis tout petit en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! J’étire encore je vous promets pas de surprises. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

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