vendredi 15 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Pour ceux qui ont raté le vidéo I forgive it all de Tom Petty avec Anthony Hopkins, je l’ai replacé dans le blog précédent. Toutes mes excuses! Je suis incapable de regarder la télé, y’a que la mise en scène de la mort. Pas de joie pour moi, ce matin j’ai téléphoné à Washington c’est bien ça y’a une navette jusqu’au métro, c’est bien… J’ai des sanglots dans la gorge, y’a cette dame fâchée parce qu’elle y était mais pas nous. Je vais essayer de me taire là-dessus. Je suis perdu cet après-midi  moi qui ai pas l’habitude d’être léger et drôle, c’est encore plus difficile… Je me souviens des attentats des brigades rouge, je sais pas comment ça c’étais arrêté. Je crois que les coupables avait été arrêté. Mes phrases sont horribles aujourd’hui… Les vacances de la construction commençaient aujourd’hui à la fin de la journée. Je souhaite beaucoup de plaisir aux hommes de métier, en camping, au chalet, en voyage, chez des amis… Je pleurerais mais ça veut pas sortir. Je suis vide, vide mais vide rien de constructif à vous écrire… Si jamais y’en a d’entre vous qui vont à la campagne et ont besoin de compagnie faites moi signe. Je pense à ce copain qui était alcoolique toxicomane, je lui avait conseillé de faire appel au programme d’aide de son emploi, il a vu une psychologue une demi-heure et on l’a mis à la porte, de beaux salauds et moi j’ai pas été de bon conseil. On se méprend souvent sur l’importance des problèmes de consommation, une demi-heure c’est idiot quand toute votre vie tourne autour de ça. Vous voyez j’avance pas beaucoup c’est encore la même thématique. Je voulais aussi souligner que mon idéal de vie c’est pas celui des intervenants des intervenantes, le seul monde où je veux avoir affaire à eux c’est dans la relation d’aide, je suis assez vieux pour m’en faire un monde, une vie, je sais pas si vous comprenez? Mon univers c’est celui de la maladie mentale pourtant quand je croise les gens je les voie pas comme des malades, à part quelques exceptions qui demandent d’être considéré comme ça, des malades. J’ai bu une orangeade, c’est l’après-midi, j’écris et je ne sais quoi vous raconter. J’aimerais ça en maudit être un poète, écrire des poèmes qui défient la mort, définitivement vivant de beauté, éloignant la salope de mort qui viens toujours trop vite. Vous savez l’heure est au combat pas à la nostalgie, même si j’écris des affaires de fou on peux pas dire que c’est de la poésie et ça m’ennuis. Je le répète j’aimerais ça en maudit être un poète… Le poète à souvent une cirrhose, une diabète et il écris avant de mourir dans la douleur. Maudite marde! C’est pas poétique, c’est scatologique mais heureusement elle me colle plus après. Je pense à tout les amis français qui me lisent. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

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