samedi 17 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! On dis que pour commencer une conversation,  une vrai relation, on commence par parler de la température alors allons y. Aujourd’hui c’est gris ça annonce un peu de pluie. Je peux pas en dire plus je suis pas monsieur météo. J’essais comme toujours de vous écrire sur mon senti, c’est vide… Je cherche qui est le poète le plus médiatique, je crois que c’est Jean-Paul Daoust http://www.jeanpauldaoust.com/  un peu moins connu y’a Patrice Desbiens https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_Desbiens  et moi si on compare je n’existe pas. L’enjeu de la poésie pour moi c’est la vie, celle qu’on risque en écrivant quelques mots on entend souvent l’alcoolique dans la poésie du désespoir, le poète est souvent, que dis je? Est toujours athée, il essaye de se libérer par l’écriture et n’y arrive pas c’est souvent une poésie de la défaite qui en veux à cette sale vie remplie de conflits et de guerres. Je suis bien loin de ma vie avec  ça j’essais de me tenir au plus près de mon senti, il me semble que j’ai tout dis, c’est verbeux ce que j’écris un babillage qui ne veux rien dire… Je vous courre après avec mes textes teigneux comme si j’avais la gale… C’est mauvais la poésie technologique faut s’en tenir à l’humain, à l’humanitude, à la solitude… C’est pas une question de savoir faut voir en soi et attendre que les mots se fassent. Difficile de dénoué l’enjeu de prendre la liberté quand on est attaché à l’ignorance. Pauvre cave, pauvre cave voilà ceux qui jugent on m’appelle à la cour, les policiers ont plus le temps. La police c’est pas très poétique. Je fais affaire avec une autre sorte d’agent, culturel celui-là qui cherche le crime de lèse-majesté. Je me souviens dans ce café à la scène ouverte elle cherchait le génie qui était-elle pour juger du génie… Je prends le temps, je suis pas iconoclaste, je respecte les objets sacrés, mon époque de brise-fer est révolue pourtant on aime souvent le choquant. Dans le moment dans ma tête j’entends mon nom de famille Saulnier, y’en a moins que de Tremblay… Je reviens à la température j’attends la pluie, ce seras je crois pour cette nuit. Encore aujourd’hui j’ai rien écris de remarquable, je me vois me faisant vider du Saint-Sulpice avant même d’avoir publier, y’a longtemps déjà j’ai raté l’occasion de me faire des amis. Salut le concours! Je crois pas pouvoir gagner ma vie décemment à coups de prix. La reconnaissance j’en aurai jamais je suis trop vieux. Elle est terminé mon époque du jeune fendant me souviens plus pourquoi… Je sais qu’on ne voulait plus me servir j’étais trop fatigant, un peu plus tard j’ai arrêté de boire et battus le désespoir. On aime bien les poètes saouls mais faut pas qu’ils dérangent trop, juste qu’ils nous donnent encore des poèmes de dépression, de bas-fond et voilà je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je suis bien à jeun. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

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