samedi 24 décembre 2016

Au présent spécial de Noël

Ils étaient tous branchée qui sur le p.c. d’autre sur la tablette et encore sur le portable. Ils avaient tous une connaissance virtuelle des gens avec qui ils communiquaient parfois s’inséraient dans tout ça  des amis des amours des parents, on échangeait sur l’actualité la guerre, la terreur et tout ce qui dans notre pays faisait peur, les voisins, les passants avec qui on discutait voyait des terroristes partout étrangement c’était les immigrants qui avaient le plus peur des nouveaux arrivants, on criais aux faux passeports. Y’avait ce gars qui comme ça pensait aux idées radicales pourtant… Toujours surpris de voir ces itinérants pacifiques qui auraient eu de bonnes raisons de se révolter, ils se calmaient dans l’alcool, la difficulté elle était là accepter l’autre dans ses différences. Le gars aimait pas beaucoup les autres langues , l’anglaise surtout on le taxait de racisme, comme souvent on disait que les québécois n’était qu’une autre race à intégrer à la masse anglophone canadienne.  Pourtant c’était, le peuple fondateur, on en accueillait d’autre qui apprendrais le français. Je sais, je sais les contes de Noël c’est pas politique on a plutôt besoin d’allégorie pour faire oublier nos compatriotes à la sécurité du revenus. Je suis pas un bon conteur mon gars n’attend plus mes histoires, il est branché sur les jeux en ligne. Je sais pas pourquoi tout le monde est victime de la machine. Moi je pense souvent à partir pour le grand nord donné un coup de main aux autochtones essayer de comprendre leurs cultures et pourquoi certains se noient dans l’alcool malgré le grand esprit manitou et avec l’idée folle de rencontré le petit renne au nez rouge. J’arrête ça là ce mauvais conte ce que je veux c’est de l’amour pour tous pour tout le monde qu’on oublie la haine et qu’on écoute l’autre qui qu’il soit. Je veux pas faire la leçon mais cette peur de l’enfer que véhicule certaines religions c’est pas très bon, la nuit de noël les gens se sont tous branchés en réseau sur le réseau et y sont allés des vœux de circonstances, c’était le début de quelque chose. L’admission qu’il n’y a pas une religion meilleure que l’autre que la puissance supérieure qui que l’on soit nous accueille tous dans son giron… On y croyais à cette célébration médiatique qui mettrais fin à toutes les guerres ignobles, un mot dialogue. J’aimerais bien avoir une écriture fédératrice faire que mon gars ait une ouverture d’esprit et plusieurs autre aussi. Je pense aux commerce des armes qui fait l’affaire de quelques tarés. La chanson de Brassens disait « Mourir pour des idées oui mais de mort lente ». Cette machine informatique est pas toute bonne ni toute mauvaise. Si ce n’était que des langues ça irais mais y’a aussi les idéologie, ça fait bien des mots savants pour un simple conte d’une réunion virtuelle pour la paix. Pour en revenir au réseau les gens préféraient être branché plutôt que de manger… La dinde, la dinde on pouvait la commander d’un poulailler écologique où on la nourissait au grain dans un espace décent, le réseau c’était aussi la coopération à plusieurs les dindes étaient pas chère et je crois qu’elles sont kasher. J’ai un peu de peine j’aurais aimé vous écrire un beau grand conte informatique, les réseauteurs sont tous là à manger de la dinde. On rêvais de réseau de la terre comme d’une belle grande famille qui échangeait dans les bons et les mauvais jours, c’est pas devenu ça mais une guerre de pouvoir à qui auras plus de donné sur son prochain pour les vendre demain. Mais non l’esprit est pas devenus informatique. Je crois qu’il est important d’avoir une force spirituelle. Le lendemain de Noël les gens se sont débranchés et on méditer d’autre qui ne savaient pas ce que c’était on prier, ils se sont tous calmé et un par un la paix les a gagné.
 
Bernard Saulnier
Noël 2016

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