mercredi 4 janvier 2017

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Ce soir je mange un spaghetti… La neige recommence à tomber, pourtant le soleil semble vouloir percer. Cherché pas trop il est toujours question de mon senti… Y’a une troué et le ciel est bleu,  je sais pas si ça aide d’exprimer sa paranoïa, ce soir j’en ai pas je suis chez moi personne me harcèle. J’ai de mauvais souvenirs aujourd’hui je suis honnête. « Prend une chance avec moé m’en va toute te donner »-Lucien Francoeur. Je croyais avoir encore des pâtes du onze septembre deux milles un, une compagnie nous en avait donné un lot. Mercredi première paye de l’année, on rentre à la maison on mange et on va se reposer. Pas question de prendre de l’alcool ça masque de façon artificielle la fatigue… Viens de finir mon spaghetti, c’était bon ça fait changement du ragout de boulettes. J’écoute ce que dis mon âme je reviendrai pas sur mon partage télévisuel c’est dit, c’est fait je regarde en avant, après les Rois qu’on ne fête plus beaucoup avec la fève, le temps des fêtes se termine. J’entends les publicités de vacances à la télé ça me donne envie de partir de prendre l’avion. Mon lecteur conducteur d’autobus part bientôt en Asie pour un mois. J’espère qu’il m’en veux pas je lui ai piqué une photo cette semaine.  Je suis content que Bombardier ais vendu des CSeries et ais des commandes en poche. J’aime les avions, je cherche comment nommer mes sentiments mes émotions c’est pas une affaire de sportif, ils aiment pas beaucoup la sensibilité. Je me souviens du grand joueur Guy Lafleur qui lis ses poèmes à l’émission appelé moi Lise, ça prenais du courage. Sensibilité, tout n’est que ça, sensible mais d’une façon humaine sans plonger vers les fonds abyssimaux de la maladie. Il est toujours permis de rêver. J’ai coupé le son de la télévision, le poête voudrais que je me taise que je laisse la parole qu’à lui annonceur d’apocalypse mais je crois qu’il y a encore du beau et que c’est difficile de l’écrire. Je peux pas me permettre le ressentiment, je m’en tiens au senti, heureux d’être à l’intérieur et de ne pas avoir à faire face au vent. Je pousse, je pousse je ne vous parlerai pas des entrailles dans lesquelles je pousse, je laisse ça au Marquis DeSade, c’est pornographiques. Je cherche l’inspiration où je peux, la nuit est arrivé et vous aussi je veux pas vous choquer. Non! Non! C’est pas la fin, je sais pas où s’en va le monde mais je suis certain qu’il reste du temps. Ça presse pour le réchauffement climatique et les pipes line mais on vas y arriver, on respire déjà mieux dans le goulag occidental. Dans le moment les gens quittent et vous aurez pas le plus beau des poèmes. Je m’en tiens à cette prose que vous allez peut-être me piquer pour vos cours de français. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!


Bernard

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