jeudi 9 février 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Hier soir y’a eu une alerte incendie semble que la voisine d’en haut a jeté ses mégots dans la poubelle ça a chauffé. Ici c’est toujours l’hiver j’écris ça pour nos voyageurs. Vendredi y’en a surement qui sont heureux d’arriver à la fin de semaine. Ai pris une douche, me suis rasé, je suis toujours étonné de voir comment ceux qui boivent de l’alcool ont pas conscience de leur odeur. Quand je me douche comme ça la nuit ça me donne des souvenirs de voyage, je me souviens du tout compris à Varadero Cuba. Je niaisait sur le site de l’hôtel, heureusement j’avais amené de la lecture, un ouvrier à bicyclette passait en chantant Commandante Che Guevara. Faisait chaud mais pas une chaleur tropicale. J’y retournerais mais dans une casa particular  à La Havane. Non! Non! Je me prend pas pour Hemingway, il a longtemps vécu son alcoolisme à Cuba, j’imagine que l’alcool, le rhum étais pas cher, il a finis pas se tuer le pauvre. Le vent souffle, ce soir chez moi ça sent la friture le poulet b.b.q. de Cuba. Je sais pas si j’aurais le courage de me mêler à la population hispanique. Y’a eu cet arrêt dans un petit boui-boui avec orchestre on y servait des Cuba libre je crois. Les femmes dansaient avec les quelques hommes qu’il y avait là. J’essais de me rappeler, je viens de lire qu’on ne discute pas politique à Cuba, c’est ce que j’ai fait avec le guide pour La Havane, il tentait bien que mal de me répondre sans dénigrer son pays. Je suis ignorant et l’ignorance c’est parfois la suffisance. J’ai raté plein de choses dans ma vie je regrette de ne pas avoir voyagé plus jeune, mais les voyages qui m’étaient offert étaient ceux des petits traffics où on risquait trois ou quatre ans de prison, c’est long. L’ hôtel était du type familial, quelques enfants pas trop de monde saoul autour de la piscine, c’était pas trop mal. Bon! Je reviens, ai mangé deux toasts parfois ça m’endors, souvenir encore de ces jeunes hommes vêtu de vert, des militaires je crois, quelques un ici et là… Je pense que malgré tout les cubains ont faim. Quand on arrive à l’aéroport de Varadero on nous laisse pas le temps de réfléchir, vite on va faire le tour « guidé » de la péninsule en écoutant les histoires de la guide… Faut croire que ça me manque, ce matin je prendrais bien l’avion faute de roulotte comme mes snowbirds… Je pense au Buena Vista Social Club au regretté Compay Segundo, le peuple cubain c’est le peuple de la révolution en marche, les gens veulent pas vivre ailleurs que dans leur pays mais avoir tout ce qu’il faut. J’ai un parfum de Havane dans le nez. Je sais pas si on emprisonne encore pour des raisons politiques. Holà!!! Les cubains. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Hasta luego!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard

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