dimanche 7 mai 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je suis désolé de voir tous ces gens inondés. J’ai un proche qui est touché et j’ai demandé si je pouvais aider, mais je vois bien que je peux rien faire… On va prier pour que ça se termine sans trop de mal, c’est une catastrophe… Cet après-midi j’ai un rhume, c’est pas très grave dans le goulag occidental ça verdis et heureusement c’est sec… Ça me rappelle les inondations dans le vieux Terrebonne, y’a longtemps, j’espère qu’aujourd’hui ils sont pas inondés on a rien entendus aux nouvelles. C’est l’état d’urgence à Montréal… La nature c’est fort, on a bien raison de dire qu’on est impuissant devant ça. Moi je touche du bois j’espère que je vais être épargné. J’écris beaucoup espoir aujourd’hui quand ça va mal souvent on a que ça… Je pense que je suis fiévreux, j’ai chaud et je suis faible, demain je joue au théâtre je souhaite que tout iras bien. Je crois que les marais vont débordé, les canards ont les aimes bien éloignés. Je pense que de passés de la chaleur au froid ça m’a pas fait de bien. Inquiétez-vous pas aujourd’hui y’a des choses plus graves… Hier j’ai regardé le film de super héros Marvel Doctor Strange, pas mauvais j’aime beaucoup ça ça me fait penser aux bandes dessinées. Bon! Petit a parte domestique, je viens de laver la vaisselle, si les nuages pouvaient s’éloigner, la matriarche dis avoir déjà vu un temps pareil au mois de mai, c’est vrai que la chaleur et l’été ça arrive souvent qu’au mois de juin. Je suis gêné de vous écrire, je sais pas trop pourquoi. Je crois que c’est à cause de tout ces réfugiés climatiques. Je suis resté allongé tout l’après-midi la télé était fermé j’étais tanné d’entendre parler de cette catastrophe. Viens de gosser quelques minutes avec Word, j’ai finalement trouver la bonne opération, tout ça c’est loin de mon senti. Dans le parc en face un gars s’entraine, un autre tape sur un ballon. Je pense que je fait un peu de fièvre mais ça finis par passer. Souvenir du marais derrière la maison paternelle, on a jamais eu d’inondation, le patriarche s’occupait de son gazon… L’arbre devant l’édifice est chétif, il a pas une feuille de sortis, l’hiver a été dur… Ici c’est tranquille on entends pas les voisins. Je suis fébrile j’ai le trac, demain je vais lire quelques lignes. J’ai peur que tout ça tourne au non-sens. Je vais rester sérieux jusqu’à la fin, je vais dire comme l’autre tant qu’il y a pas mort d’homme!  Je suis pas un bon comédien mon affaire c’est d’écrire. J’ai hate d’entendre mes mots. Encore une prière pour les lecteurs de Deux-Montagnes. Lentement je termine et vous laisse en n’espérant n’avoir parlé que de ma vie intime… J’ai encore des problèmes de traitement de texte, non! Non! Tout fonctionne à merveille. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Dieu vous bénisse!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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