mercredi 3 mai 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je viens de me lever, je suis quand même fatigué. Je trouve pas quoi vous écrire, c’est le matin, ai acheté du lait, on gèle dehors. J’attends le reçu fédéral du rapport  d’impôt, je sais vous voulez de l’émotion moi ce matin je suis enragé. Je devrais pas c’est pas bon pour la santé. Je crois qu’il y a des lecteurs qui se sont tannés de me lire délirant. Dans les arbres les feuilles ont éclos. Je vais essayer de pas me dénigrer. J’ai hâte de partir en voyage, mais oui c’est permis d’être touristes, à un moment je crachais sur le tourisme, mais je partais jamais maintenant je trouve ça bien de pouvoir partir quelques jours en voyage, comme toujours les avions me fascinent. L’aéroport aussi les douanes, la fouille avant de prendre l’avion, l’attente dans la salle d’embarquement, je vous l’écris et je suis déjà heureux anxieux. Ce matin je vais passer à autre chose que ma journée d’hier. J’ai fermé les commandites de mes post. Je sais, y’a des gens qui se sentent persécutés, pour le moment pas moi, mais je sais très bien que mon monde pourrais s’écrouler… Je pense au système de santé mentale, le trouve un peu fasciste surtout quand il s’agit de soigner les adolescents, c’est une période difficile qui je crois le deviens plus quand on ajoute des intervenants, c’est ce que je pense ça vaux ce que ça vaux … La vérité c’est que je suis resté adolescent longtemps, sans personne pour s’occuper de moi, ça faisait mal, très mal, j’ai dis que je me dénigrerais pas… Tout à coup j’ai de la peine quand je pense à tout ça, je suis devenus je sais pas trop quoi. J’aurais aimé que ça se calme dans ma caboche, j’étais avec une gang de bum que je croyais mes amis, c’était une nuit, noire et dépressive. Je vais réviser le texte que j’ai à lire et à jouer. Écrire on m’a toujours dis que j’ai du talent pour ça, je pense à Narcisse, je me fouille l’intérieur, regarde cette écriture mon image en mots… Je suis bonasse bien que j’ai dis que je me dénigrerai pas, c’est je crois le seul mot de ce genre que vous allez trouver dans ce texte… La paranoïa s’empare de moi, je sais qu’il y a des gens qui ne m’aiment pas, ils vont me faire mal… Ça me donne juste envie de tout sacrer ça là, je pense à une amie qui avait beaucoup de talent qui a abandonné parce que disait elle les gens étaient jaloux. C’est pas fort ce que j’écris ce matin, c’est quand-même toujours mon senti. J’ai toujours souvenirs de cet ami qui m’avais loué une chambre et que j’ai volé. Je m’excuse j’espère qu’il m’a pardonné. Je crois que le temps efface pas ce genre de chose, il ne fait que les atténuer mais je me suis corrigé. Voilà!!! Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

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