jeudi 4 mai 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est tellement le fouillis dans ma machine y’a des photos que je trouve plus, parfois je crois que je les ai imaginés. Jeudi matin, il pleut pas ça va peut-être donner une chance au riverains.  Souvenir des projections huit millimètres du parrain sur les inondations à Châteauguay, c’étais y’a longtemps. Je pense à ces photos d’avions bleue que je ne trouve plus. Je reviens à mon senti, je prend mon temps, j’ai pas tout dis, cet après-midi on répète à l’institut dans l’auditorium. Je pense au bean bag sur scène et aux danseuses. Y’a longtemps que j’ai pas mis les pieds dans un bar de danseuses, j’ai plus de temps à perdre… Je sais pas pourquoi je pense au Jos de Victor-Lévy-Beaulieu…  Je cherche du génie j’en trouve pas, pense à ce gars qui cherchait à devenir esclave c’étais pathétique pour le moins. Il reste trois jours avant la représentation, je sais, les gens honnêtes dorment à l’heure où je vous écris. Ça c’est calmé dans ma tête, j’ai dormis, j’ai rêvé… J’ai coupé l’argent pour le compte Facebook, ils se payaient automatiquement à même ma carte, méchant racket… Je pense à la pauvreté, y’a des gens chez qui on entre, ils sont là depuis longtemps mais on dirais qu’ils ne sont que de passage. Je suis en pleine nuit j’aimerais que le téléphone sonne pour entendre une vrai voix quoi que ce sont ces moments là qui me pertubent… L’interaction ça me dérange, y’a certaines émotions que j’arrive pas à vivre et qui me bouleversent toujours dans la présence de l’autre… Je reviens pour une autre fois à ceux qui défont le langage, je comprends rien et ça me fait mal… Ce matin j’essais de tout oublier, je recommence, je vais relire le texte du banquet. J’attends la paye de différentes activités au quelle j’ai participé. Faulkner chantait « Nègre noir aigre doux » c’est plutôt ça je le mentionne souvent. Cette chanson là elle me trotte souvent dans la tête, je trouve que Faulkner c’est un grand parolier. J’ai hâte de partir en voyage pour amener du nouveau dans cette répétition scriptée. J’aurai toujours raconté là même histoire… Je veux bien faire une composition comme on disait à l’école, je pense toujours aux avions… De ma nuit je retouverai le jour et si lui ne voulait pas d’amour il a fuit sans revenir toujours et puis tiens voilà le bon jour… De mauvais vers, pendant qu’elle avait écris quatre milles mots dans sa journée. Souvenir du voyage à Washington il a fait un très beau temps, j’espère qu’il feras aussi beau à Barcelone et à Madrid… Le temps passe, lundi prochain ce seras la représentation j’espère qu’on feras pas fiasco. Quelques mots encore avant de terminer https://www.youtube.com/watch?v=Wfqp6wjUJx8  Je pense à une façon positive de conclure, je vous donne ça cette nuit encore une fois. J’ai plus de mots je retourne donc à mon mutisme. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire