dimanche 30 juillet 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin j’illustre ça avec une statue hommage au poète roumain Mihai Eminescu de Vasile Gorduz né à Bucarest en mille neuf cent trente et un et décédé au même endroit en deux mille huit. On peut la voir sur le plateau au parc Devonshire, Place de la Roumanie angle Sewell et Roy ouest, c’est une statue de cuivre bronze inauguré le dix-huit septembre deux mille quatre. Le poète Roumain qui a vécu de dix-huit cent cinquante à dix-huit cent quatre-vingt-neuf y est cité. « Si éternellement jeune enveloppé dans ma cape… ». Je vais être franc avec vous, je vois un côté féminin dans l’œuvre. Je devrais peut-être m’intéresser plus à ce poète, le féminin je le vois dans la statue… La citation pour moi évoque la mort, l’éternité de la jeunesse… C’est pas une bonne idée d’essayer de faire de la poésie après d’immense poète. Je crois que les Roumains sont très francophile. Je vais revenir à mon senti, j’hésitais à écrire encore… Hier j’ai eu peur des gens avec qui je veux plus avoir de contact se sont signalé, j’ai pas répondu. Le temps que j’ai passé avec eux ça jamais été une bonne idée, maintenant je préfère la solitude que des mauvaises relations. Aidez-moé! Aidez-moé! Je reste chez moi, j’ai de la difficulté à sortir même par ce beau temps. Je vais en profiter quand je serai à Barcelone et à Madrid. La statue du poète y’a longtemps que je voulais l’utiliser, je la trouve très belle et paradoxalement avec ce que j’écrivais plus tôt très vivante. Je recommencerai pas ma vie de « trimpe », de voyou, je pense à l’Amérique des années soixante-dix, j’étais adolescent et déboussolé d’avoir trop lu, trop vu. Je vais essayer de pas boire aujourd’hui, je pense à la réunion de la semaine passée, essais d’y voir quelques chose de thérapeutique.  La peur est toujours là, j’aime pas ces gars ils nourrissent ma paranoïa… Je pense aux dictatures, Roumaine et les autres, au Québec on voudrait avoir une république. Je sais pas pourquoi j’écris ça. J’ai oublié de vous dire la statue elle est à Montréal. Là je me fais un café c’est une façon de mettre un peu d’humour là-dedans… Vous le savez j’ai pas de talent pour le comique, le burlesque.  Bon! Parfois c’est difficile d’écrire et semble que c’est interdit de s’attaquer aux bons écrivains, je leurs fait mes excuses pour les insultes, les écrivains matures s’en prennent pas aux écrivains de génie. Je veux juste évoquer, c’est-ce qui est difficile, évoquer dans une tentative prosaïque et bavarde l’autre qui est toujours dans le délire, l’autre c’est mon double à la façon littéraire pas schizophrénique comme on le crois souvent. Ce matin, un écrivain de l’académie disait que lire ça aidait pour écrire je crois que c’est vrai. Et voilà, je termine, quelques mots encore j’espère que ça vous fait plaisir de me lire. Merci de m’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Bernard

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