vendredi 15 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je recommence, j’ai perdus un document, c’est peut-être pour le mieux, j’y écrivais que je suis misanthrope, que je voulais plus sortir mais je voulais m’isoler pourtant j’aime bien prendre l’avion quoi que c’est là qu’on devrais dormir mais c’est difficile. Y’a ces gens en avant de moi qui avaient acheté une couverture et l’on laissé sur le plancher de l’avion en arrivant. Je vous ai déjà parlé aussi de mon sympathique chauffeur de Madrid qui m’a souhaité bon voyage en partant, c’est un bon moment. Y’a aussi cette jeune québécoise qui travaillait au Centre d’art de la Reine Sofia et qui parlais un français impeccable. Je suis fou je me répète, la vérité c’est que j’aime bien les gens, rien de nouveau sous le soleil. Je croyais me renouveler en partant pour l’Espagne, vous pouvez me lire sur Schizophrénique à Barcelone et à Madrid sur ce blog… De un à dix, je sais pas ce que je ferais si je laissais tomber mon rêve d’être écrivain. Vous semblez pas avoir appréciez le blog précédent… Je crois que je suis un pisse-copie, voilà où j’en viens quand j’ai pas d’inspiration je me dénigre. Y’a Umberto Eco qui dis qu’on est des tarés des imbéciles parce qu’on écris, il veut pas laisser ça à n’importe qui, disons que je relirai pas le nom de la rose… Je vais aller jusqu’au bout de cette mauvaise écriture arrêter de me mentir et continuer à lire pour finir. C’est rien d’historique ce que j’écris cet après-midi, donnez-moi un peu de souplesse, vous aimeriez savoir mon senti, c’est moins que rien, je suis un gars finis, le senti, je le racontais à l’ami, c’est difficile on l’écris et l’atteins un peu quand on a mal, c’est rien de jubilatoire. Je me fouille l’intérieur c’est toujours une histoire d’âme je crois, une parenté entre le sentiment et le senti, comment écrire une plénitude qu’on à pas. Vous me direz fait semblant mais ça me tente pas, je préfère la vérité. Je sais, je sais je suis un pauvre type qui délire et crois écrire quelque chose d’essentiel pour la littérature « moderne » vous voyez comme je suis fou, mais au moins j’évite la sale job de passé les livres au pilon. On se réfugie toujours dans le plus mauvais pour pas avoir l’excuse du mieux, vous voyez c’est comme ça les phrases alambiquées sous prétexte de littérature. Je pense encore à Eco, ça nous ferait un bon dictateur pas trop fort sur la liberté d’expression, lisez mes moutons et tentez pas d’écrire c’est trop long… Un petit verre de vin, quelques pleurs avec les copains et on rentre à la maison pour le match de foot, l’écriture on remet ça à plus tard, je l’écrirai bien un jour le roman du siècle, à ma retraite? Voilà ce que je pense de tout ça. Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je reviendrai pour l’instant je vous souhaite à la prochaine!!!
Bernard

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