dimanche 15 octobre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’en ai sauté une couple hier, les derniers semblaient pas vous intéresser. J’admets que parfois j’ai un ton un peu braillard… C’est le senti qui fait des siennes. Ce matin j’ai une réunion, quand bien même je pleurerais un peu c’est pas très grave… Hier à la télé ils parlaient de Bladerunner, le réalisateur en est un très bon. Je vais attendre un peu et aller voir le film… Hier soir quand je me suis couché j’ai entendu un gars dehors qui a crié « tas de marde! » Je l’ai pris pour moi, ça vous montre le peu d’estime que j’ai de moi. Pourtant j’essais de faire des actions qui vont la remonter cette estime, je me relis et je vois pas où je fais mal… Je  vous écrirai pas sur mes thèmes de prédilections… J’espère n’avoir blessé personne avec mes blogs précédents, dehors y’a un grand vent… Je crois qu’on écris pas grand-chose en ménageant la chèvre et le choux. Il est presque une heure… À l’époque on me surnommait « le paquet »… Je remercie le lecteur qui s’est servis d’une de mes photos pour ouvrir sa page. Y’a ces gars fatigué qui sortent et conduisent c’est dangereux. La nuit c’est toujours difficile de parler d’autre chose que de l’alcool, moi votre ami le tas de marde, vous conseille de pas conduire… Je m’auto-stigmatise facilement… Pour les lecteurs de longue date vous l’avez certainement remarqué… J’aimerais beaucoup avoir les mots du poètes, cette semaine à la salle Fred Barry on met en scène la poétesse Josée Yvon avec la femme la plus dangereuse du Québec, voilà autre chose que j’aimerais aller voir. Le couple regretté Vanier-Yvon sont comme deux amis qui m’ont quitté, on à beau dire ce qu’on veut c’était de grands poètes qui nous découpaient l’âme à coups de scalpel lexicaux, de poignards analogique. Me souviens de cette soirée de poésie au théâtre Lachapelle c’est étonnant combien y’avait de monde, de poètes.  Le théâtre à toujours eu ce lien intime avec la poésie parce que parfois il faut dire… Si vous êtes de ceux que la poésie ménage vous ne la méritez pas, la poésie faut que ça frappe comme un batte et parfois même vous bouscule les entrailles. C’est bien faible ces mots-là près de ceux des maîtres, je voudrais faire pareil j’y arrive pas, je suis juste un chien plagiaire et boiteux, la chienne me pogne quand je pense à m’éviscérer, les tripes à l’air pour crier à la douleur des intestins… La voix me dis fait pas ton cave, t’est même pas sale, tu bave, tu bave… C’est pas Cendrillon c’est juste un conte pour éviter la prison où la scandaleuse hôpital, voilà pour guérir la mutilation des parties, des organes génitaux encore faut-il savoir ce que c’est … Voilà le grand chien ignorant que je suis essais d’ouvrir une porte poétique, il ne peut défoncer… Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
 

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