lundi 1 janvier 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Déjà le deux janvier, l’année est quand même jeune… Le voisin ronfle... Je me suis couché tôt je me lève donc tôt. Je reviens avec ce bon vieux senti, je me disais que si j’écrivais pas comme ça j’en crèverais… À Noël j’ai eu en cadeau un gratteux de luxe de mon lecteur technicien à la Rolls-Royce, je lui dis merci. Ce matin y’a beaucoup de gens qui rentrent au travail, surtout les gagnes petit. Moi je participe à une recherche mais c’est seulement vendredi… Je me demande combien de temps on reste dans la mémoire des gens et si c’est pour les bonnes raisons? Question philosophique du début de l’année… Je reviens avec ce voyage espéré aux journées internationales de santé mentale de Lille, j’aimerais beaucoup que ça se concrétise. J’aimerais bien en cette nouvelle année vous écrire du nouveau, changer de ton. Cette nuit c’est tranquille, le prochain recueil Spirou seras disponible début février, je vais attendre un peu pour le commander… Mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord est heureux du cadeau que je lui ai offert, un ensemble de tournevis pour le matériel électronique… C’est toujours pas une bonne idée de rester dehors la nuit… Je suis très content que la machine sois en ordre, la connexion aussi… Hier j’ai regardé une émission sur Vienne en Autriche, les villes d’Europe me fascinent par leurs histoires. Je crois qu’il y a des gens qui rentrent chez eux après avoir encore fêté toute la nuit. Hier j’ai mangé une charcuterie à l’odeur de tripes, au gout c’était pas mauvais mais le parfum que ça avait… Va falloir que je parle de ça à mon neveu charcutier. C’était pas toxique je suis pas malade… J’ y arriverai pas à la grande littérature, hier j’ai lu que c’étais se faire des illusions de croire que quelqu’un nous attend. Quand on a quelques lecteurs c’est déjà bien. Je sais pas trop quoi vous écrire je crois que les écoliers sont encore en congé. Deux janvier deux milles dix-huit, je croyais pas me rendre là maintenant que j’y suis-je veux plus partir.  L’écriture ça garantis rien plusieurs grands écrivains ont mis fin à leurs jours. Je pense aux sœurs Margaux et Mariel Hemingway les petites filles du grand écrivain… Mais non! Je retournerai pas lentement vers l’entretien ménager, je préfère vous écrire de mon senti fracturé… Viens de manger, je termine cette écriture et vais me coucher semble qu’il faut persévérer mais pour arriver à quoi? Ce que j’écris c’est une répétition sans fin… Quand à l’écriture c’est pas gagner la loto mais je dois rester actif pour moi c’est de l’ordre du dire. Quelques mots encore et je termine. J’ai jamais été drôle toujours eu la mort en chant arrière, je veux pas faire de mon âge une porte ouverte pour la chaise berçante. Voilà pourquoi j’écris ça me garde en vie même si c’est de la folie. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

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